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Paul McCartney – 04 Summer Stadium – concert de Paris : 50.000 spectateurs ont applaudi McCartney au Stade de France

 Quelque 50.000 “Beatlemaniaques”, dont Henri Salvador, ont applaudi jeudi soir sir Paul McCartney au Stade de France, qui a interprété une large majorité de chansons ayant fait la légende du plus célèbre groupe pop du 20e siècle.


Sir Paul avait fait étape à Paris en mars 2003 au Palais omnisports de Paris-Bercy. Il s’agissait de sa première prestation au Stade de France, qui l’an dernier avait accueilli les Rolling Stones, rivaux des “Fab Four” dans les années 60.


Les chansons de cette décennie constituent le coeur du tour de chant du gamin de Liverpool. Malgré son statut de premier milliardaire du rock, il a conservé une faconde et une bonhomie qui le rendent proche d’un public largement dominé par quadras et quinquas.


Signe de sa réconciliation avec une oeuvre dont il tenta jadis de s’affranchir, McCartney offre même une composition, qui, a-t-il rappelé jeudi soir, date de leurs tout débuts, “avant même de nous appeler les Beatles” (“In Spite Of All The Danger”).


Il y aura pléthore de tubes renvoyant à la Beatlemania (“All My Loving”, “We can Work It Out”, “Michelle”, “Drive My Car”…), mais aussi toutes ces chansons enregistrées alors que les Beatles avaient arrêté la scène et qu’ils ne restituèrent jamais en concert : “Get Back”, “Penny Lane”, “Eleanor Rigby”, “Lady Madonna”…


Sir Paul rend hommage à ses compagnons d’aventure, avec d’abord “Here Today”, écrite, rappelle-t-il, après l’assassinat de John Lennon, puis le mystique “All Things Must Pass”, emprunté à George. Après l’hommage aux disparus, c’est le clin d’oeil au survivant (“Yellow Submarine”), dédié au débonnaire Ringo Starr, repris dans un désordre joyeux par la foule.


L’ambiance évoque leurs jeunes années aux enfants du baby boom que McCartney salue d’un jovial “Salut les copains”. Le public ne se lasse pas de reprendre ad libitum le fameux chorus final de “Hey Jude”. Aux rappels, Paul offre “Yesterday”, seul à la guitare, puis “Let It Be”. “Vous en voulez encore” ? demande-t-il à la foule qui ne se fait pas prier.

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Il termine avec “Helter Skelter”, rock déchiqueté destiné à montrer que la violence n’était pas le seul apanage de John. Après avoir enchaîné “Sgt Pepper’s Lonely Hearts Club Band” et le final de la face B de “Abbey Road”, Paul revient pour un dernier salut brandissant le drapeau français, ayant enfilé entre-temps un T-Shirt affichant son combat contre les mines anti-personnelles.


 


 

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