- Ce sujet contient 68 réponses, 13 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
Laurent, le il y a 1 année.
-
AuteurMessages
-
-
13 novembre 2019 à 23 h 49 min #116365
marcbeatles
ParticipantSi on poursuivait le « match » Lennon – McCartney, entamé dans la deuxième partie des Beatles, dans la décennie 70, la seule malheureusement où celà soit possible ?
Pour moi, malgré la retraite de John pour quelque temps, Paul est celui qui s’en sort le mieux.
Côté John, 2 bons disques au départ, puis ensuite l’horrible Some time in NYC, suivi de disques laborieux, avec comme point d’orgue le poussif Rock n Roll et enfin le très attendu, mais tout autant décevant, Double fantasy (malgré quelques rares éclairs, malheureusement ruinés par la production déjà très 80s). Et quna on écoute les quelques démos laissés entre 75 et 80, on se dit qu’on n’a ps raté grand chose.
A côté de celà, Paul, avec et sans les Wings, a émaillé les 70s d’albums et singles en tête des charts.
Bref, si j’avais à résumer mon point de vue, McCartney était devenu le patron à partir de 67 et l’est resté ensuite.
Et pour finir, à ceux qui me disent que paul a produit quelques daubes dans les 70s, qu’ils écoutent Some time in NYC….. -
14 novembre 2019 à 1 h 10 min #116366
4JB
ParticipantGlobalement d’accord avec Marc.
En 1972 Mc et les Wings balancent l’impeccable ‘ Hi Hi Hi’. En 73 et 75, deux albums de fort belle tenue, Band on The Run et Venus and Mars, Monsieur Paul frappe fort, tant au niveau qualité générale que popularité méritée. Après, ça glisse un peu, jusqu’au triomphal ‘Mull of Kintyre’, un Everest. Suivi de l’impeccable ‘Coming Up’, tandis que Lennon oscillait entre cocooning et ésotérisme paresseux.
Concernant ce dernier, il s’agit de se procurer les versions remixées de Some Time in New York City et, surtout, Mind Games & Rock’n’Roll : les mixes originaux ne valent pas un clou.
Et là, quelques chansons ressuscitent, ‘New York City’ par exemple, malgré un backing band certes compétent, mais plutôt épais. In Mind Games (-remix), deux titres approchent, par instants, la faconde du Lennon 68-69, ‘Out the Blue’, ‘I Know (I Know)’.
Se souvenir aussi que, juste avant la décennie 70, un John dépité publie, sous étiquette Plastic Ono Band, la chanson refusées par les Beatles, ‘Cold Turkey’ (avec, mais oui, Ringo à la batterie). Lennon démarre pied au plancher les 70s grâce au fulgurant ‘Instant Karma’, auquel participe, (re)mais oui, George Harrison.
Philippines : étonnant 45 tours Apple attribué aux Beatles, featuring John Lennon (1970) -
14 novembre 2019 à 6 h 07 min #116368
marcbeatles
ParticipantC est vrai, il y a cette espèce de dirac au tout début, avec ces 2 titres fabuleux. Avec ensuite 2 bons ou grands albums, selon les opinions
La suite m apparaît laborieuse, globalement.
Loin de l image qu a le français moyen de John, quasiment béatifié.
Moi, sa carrière solo, son activisme ouvrier confortablement installé au dakota et sa tanière 75 80 à faire du pain me laissent dubitatif. Sans parler de ce retour globalement poussif -
14 novembre 2019 à 18 h 27 min #116369
Flowers
ParticipantLe langage musical de Lennon n’a jamais vraiment varié, c’est assez linéaire, on reste a peu près dans le meme registre qu’il a toujours eu et notamment depuis la fin des Beatles (malgré ici et là une concession a l’air du temps comme Whatever Gets You etc)… En revanche celui de Paul a nettement changé, il est assez différent de celui qu’il avait sous les Beatles. C’est autre chose, d’abord la période assez bucolique de ses trois-quatre premiers albums qui a du en surprendre plus d’un car ça n’a rien a voir avec ce qu’il faisait avant, puis les Wings avec – quoiqu’on en dise – un langage musical qui leur est parfaitement propre (et ça, Costello l’avait souligné)
-
14 novembre 2019 à 18 h 32 min #116370
Flowers
ParticipantC est vrai, il y a cette espèce de dirac au tout début, avec ces 2 titres fabuleux. Avec ensuite 2 bons ou grands albums, selon les opinions
La suite m apparaît laborieuse, globalement.oui c’est très proche du « syndrome » George finalement…comme si au début il avait – lui aussi – des choses essentielles à dire et refrénées depuis longtemps et qui sont sorties d’un coup…comme s’ils avaient été inconsciemment martyrisés par Paul, Molly, Desmond et le marteau en argent de Maxwell…!
Et puis après, nettement plus faible. -
14 novembre 2019 à 18 h 34 min #116371
Flowers
Participantson activisme ouvrier confortablement installé au dakota et sa tanière 75 80 à faire du pain me laissent dubitatif.
ah ça…on est pas loin de l’esprit de provocation (meme inconscient) cher à John…mais c’est pour ça qu’on l’aime !!
-
14 novembre 2019 à 20 h 29 min #116372
4JB
ParticipantLe langage musical de Lennon n’a jamais vraiment varié, c’est assez linéaire, on reste a peu près dans le meme registre qu’il a toujours eu et notamment depuis la fin des Beatles (…)
In ‘Walls & Bridges’, Lennon dépose deux chansons dans son style habituel, très réussies, ‘Steel and Glass’ et ‘Nobody Loves You (When You’re Down and Out)’.
Un peu plus originale, ‘N°9 Dream’ aurait pu se hisser au rang des grands moments si, au lieu de tourner un peu en rond, avait bénéficié d’un développement vers le milieu. Du coup, c’est juste charmant, agréable. -
14 novembre 2019 à 20 h 50 min #116373
ALLIGATOR
ParticipantJe rejoins tout ce qui a été dit au dessus,du temps des Fabs c’est un parfait 50/50 entre john et paul,impossible de les départager.
Par la suite aïe…En fait j’ai toujours vu la carrière de Lennon à travers un mot:Dommage.
Dommage qu’un type qui avait pondu de tels morceaux durant la décennie précédente,aille se perdre ailleurs.Tout ou presque est poussif,je sauve les débuts 70/71,quelques titres de Mind Games,3/4 titres de Walls et ses compos sur Double Fantasy car j’aime sa voix dessus et la plupart des morceaux ne me semblent pas particulièrement faiblards.
Mais quand-même…quel Dommage…
Les Beatles ?
Du parfum pour mes oreilles... -
14 novembre 2019 à 21 h 29 min #116374
4JB
ParticipantJe rejoins tout ce qui a été dit au dessus,du temps des Fabs c’est un parfait 50/50 entre john et paul,impossible de les départager.
Par la suite aïe…En fait j’ai toujours vu la carrière de Lennon à travers un mot: Dommage.
La carrière de Sir Paul n’est pas exempte de dommages non plus : après les dignes ‘McCartney’ et ‘Ram’, il lance la carrière des Wings avec un ‘Wild Life’ peu engageant. Au Royaume-Uni, le LP n’entre même pas dans le Top 10, la déception, assortie de critiques sévères, est de mise. Aujourd’hui, beaucoup semblent apprécier l’allure relâchée, faussement rustique de l’ensemble. Pourquoi pas. Passé un certain désappointement, Macca resserre les boulons, suit un ‘Red Rose Speedway’ plus soigné, assorti du tube ‘My Love’.
Un trajet jusque là assez similaire à celui de son ex-partenaire des Beatles. Pourtant, il se distingue grâce à ‘Band on the Run’, fort, évident : même les titres plus anodins, genre Mamunia, fonctionnent à merveille, coulent de source. Comme au temps des fabs, oui, où un ‘Your Mother Should Know’ faisait le job. Là, en 1973, Paul prend la tête. En imaginant qu’il y ait eu compétition. -
14 novembre 2019 à 21 h 43 min #116375
ALLIGATOR
ParticipantLe truc chez Paul c’est que tu peux toujours trouver des morceaux qui feront la balance fassent aux tracks plus faiblards,selon goûts perso bien sûr.
Chez John le ratio est plus faible,en ne tenant compte que des 70’s celà va de soi.
Et les prods d’albums me gênent pas chez Macca hormis Wild Life.
Chez John ce fût parfois un calvaire à découvrir,je m’en souviens encore.Les Beatles ?
Du parfum pour mes oreilles... -
14 novembre 2019 à 22 h 16 min #116376
4JB
ParticipantChez John le ratio est plus faible,en ne tenant compte que des 70’s celà va de soi.
Et les prods d’albums me gênent pas chez Macca hormis Wild Life.
Chez John ce fût parfois un calvaire à découvrir,je m’en souviens encore.Absolument.
C’est pourquoi deux épouvantes sonores d’alors (Mind Games, Rock’n’Roll) sont méga-conseillées dans leurs moutures remixées, ©2002 et 2004.
ATTENTION !
Pas les remasters de 2010, surtout pas : ceux-ci n’ont aucun intérêt, c’est du très mauvais en vaguement moins pire.
Ci-dessous (recadré), l’impeccable ‘Mind Games’ de 2002 et son sticker :Il y a des bonus tracks sur ces éditions-là, quatre pour ‘Rock’n’Roll’, du tout bon. Oui.
-
15 novembre 2019 à 5 h 49 min #116377
ALLIGATOR
ParticipantAllez continuons trinkilou,jusqu’ici tout se passe bien profitons en…
Êtes-vous plutôt Rock’n’Roll ou plutôt Choba?
Qui sert le mieux cette noble cause qu’est le Rock plus ou moins racinal mes amis?Car oui nos 2 compères ont prêté leur voix à cette musique qui évoque leurs jeunes et tendres years.
Les Beatles ?
Du parfum pour mes oreilles... -
15 novembre 2019 à 6 h 45 min #116378
ALLIGATOR
ParticipantEt pas de Run devil Run,juste 2 galettes pleinement coverées.
Les Beatles ?
Du parfum pour mes oreilles... -
15 novembre 2019 à 8 h 40 min #116379
marcbeatles
ParticipantPour moi, là, match nul
Lennon s est réveillé après ces albums bof bof mind gamess et Walls, et avant son endormissement et a la fin ce demi album frustrant
De l autre côté, Paul égal à lui même, sur Choba et run devil run, avec excusez du peu 1 Floyd et 1 deep purple
Bref, 1 Lennon réveillé face a un Paul en mode normal, soit au top, et pour moi match nul, pardon match au top -
15 novembre 2019 à 19 h 39 min #116384
Flowers
ParticipantÊtes-vous plutôt Rock’n’Roll ou plutôt Choba?
je n’aimepas trop le registre des reprises standards mais bon là pour le coup je suis pour Rock’n Roll, je pardonnerais difficilement a Macca son massacre complaisant de Summertime…faut pas déconner non plus…
Sinon pour me mettre d’accord avec moi-meme, je vote Run Devil Run.
-
15 novembre 2019 à 23 h 52 min #116387
Sim
ParticipantDifficile de départager les 3 albums de reprises. Le plus roots, est sans doute run devil run. Les 2 albums ne macca sont enregistrés de façon spontanée sur un temps court et même
Si c sans doute plus peaufiner que ce qui est raconté dans les interviews de promo. J aime le côté brut de choba. (Cracking up) .
A mon sens lennon à voulu faire un album avec un son actuel(De 1973) très us. Cuivre etc…
Nb tous les albums des ex de cette periode 73 75 sonnent comme ça. .(Venus. Extra.goodnight. walls).
Pas de chefs d oeuvre mais 3 albums sympathiques.
Pour harrison. Il faut aller voir du côté de l hommage à Carl perkins ou des traveling w w pour trouver un projet similaire -
16 novembre 2019 à 6 h 49 min #116392
Macaaron
ParticipantPersonnellement, je n’écoute presque jamais les albums solo de Lennon, à l’exception des deux premiers. A chaque fois que j’essaye, je n’arrive pas à les terminer. Il a clairement eu un manque d’inspiration, même si dans Double Fantasy on retrouvait un peu de magie.
A l’inverse, la période 70’s reste la décennie la plus riche de la discographie de McCartney, de Ram à back to the egg en passant par Band On the Run, il y en a pour tous les goûts. Il y a aussi du bof, mais minoritairement. Je ne me lasse jamais de la redécouvrir.
Mais si on se penche sur leurs gros tubes, je pense que Lennon « l’emporte ».
Comme dit plus haut, on peut effectivement lui reprocher d’être resté un peu trop dans sa zone de confort. Parmi ses tubes les plus connus (Imagine, Jealous guy, Love, watching the wheels, Oh my Love…) on constate sans peine qu’il reprend le même moule. Et ça marche, ces chansons sont géniales, et sont restées dans toutes les mémoires.
Chez Macca, c’est plus varié, entre « Live and Let Die », « Love », « Coming Up » et « Mull of Kintyre », on ne voit pas trop de « moule » commun. ok. Pourtant j’ai le sentiment ça fait clairement moins l’unanimité. Peut être que ses chansons sont moins « abouties », ça part plus dans tous les sens, c’est plus difficile à apprécier qu’un « Imagine » ou un « jealous guy ». Peut être qu’il manque le charisme du « Lennon peace and love », le côté activiste, ou peut être que c’est tout simplement parce qu’il ne s’est pas fait descendre …
Mais j’ai ce sentiment que les chansons phares de Lennon ont quelque chose de plus intemporel.
-
16 novembre 2019 à 7 h 15 min #116393
ALLIGATOR
ParticipantLe seul tube de John que je connaisse c’est Whatever Gets You Thru The Night.
Les Beatles ?
Du parfum pour mes oreilles... -
16 novembre 2019 à 7 h 15 min #116394
ALLIGATOR
ParticipantIl n’a pas tuber tant que ça.
Les Beatles ?
Du parfum pour mes oreilles... -
16 novembre 2019 à 7 h 29 min #116395
Macaaron
ParticipantMouais j’ai peut être mal utilisé le terme tube.
Disons « gros succès ». -
16 novembre 2019 à 7 h 40 min #116396
ALLIGATOR
ParticipantEt moi je voulais écrire Tubé.
Sacré téléphone.
Oui j’avais compris t’inquiète,en gros tu parles plutôt de classiques.Les Beatles ?
Du parfum pour mes oreilles... -
20 novembre 2019 à 21 h 13 min #116456
rorold
ParticipantJe suis bien d’accord avec ce qui est dit… cela dit j’adore la chanson Mind Games ( je la trouve magnifique ), JB je suppose que les remix 2002 et 2004 ne sont évidemment écoutables correctement qu’en CD c’est ça ? xD
-
21 novembre 2019 à 1 h 51 min #116459
marcbeatles
ParticipantTight as, je trouve que ça envoie pas mal
D autres bons moments
Mais beaucoup de titres que je trouve insignifiants
Idem, voire encore plus, dans Walls and bridges
Et au final 2 disques que je trouve pénibles a écouter -
21 novembre 2019 à 19 h 09 min #116460
Flowers
ParticipantParmi ses tubes les plus connus (Imagine, Jealous guy, Love, watching the wheels, Oh my Love…) .
ah les deux premiers bien évidemment, mais les deux derniers ?…on ne m’a rien dit…ou je n’étais pas là !
-
21 novembre 2019 à 21 h 56 min #116464
Flowers
Participantelles font parties des chansons les plus écoutées sur Youtube, Spotify .
ah ok, intéressant. Les deux dernières je ne le ai pas vu venir, ce qui m’a permis de redécouvrir « Oh my Love » qui en effet a une belle tenue…
-
21 novembre 2019 à 22 h 31 min #116467
4JB
ParticipantJe suis bien d’accord avec ce qui est dit… cela dit j’adore la chanson Mind Games ( je la trouve magnifique ), JB je suppose que les remix 2002 et 2004 ne sont évidemment écoutables correctement qu’en CD c’est ça ?
En vinyle, il semble que Mobile Fidelity Sound Lab a publié (2004) une version -sans bonus- du Mind Games remixé à Abbey Road. A checker. Référence MFSL 1-293.
-
21 novembre 2019 à 22 h 32 min #116468
4JB
ParticipantParmi ses tubes les plus connus (Imagine, Jealous guy, Love, watching the wheels, Oh my Love…) .
ah les deux premiers bien évidemment, mais (…)
Le gros morceau, c’est la chanson ‘Imagine’. D’ailleurs, pas mal de monde croit que c’est les Beatles. Là, Paul le Mc, malgré de méritants efforts, n’a pas réussi à égaler une telle évidence, forte de son petit gimmick de piano, d’accords inattendus. Le message est certes candide, à un point tel qu’il reste frais. Le truc ultime, c’est quand Lennon chante « You may say Iam a dreamer, but I’m not the only one. I hope someday you will join us, And the world will be as one ». Tout à coup, John se met à la bonne hauteur, celle que ses admirateurs-trices souhaitent partager.
-
22 novembre 2019 à 4 h 32 min #116470
Flowers
ParticipantD’ailleurs, pas mal de monde croit que c’est les Beatles.
tiens je ne l’ai jamais entendue comme telle (ni autour de moi a mon avis)…et donc intéressant comme point de vue
-
22 novembre 2019 à 5 h 00 min #116471
4JB
ParticipantD’ailleurs, pas mal de monde croit que c’est les Beatles.
tiens je ne l’ai jamais entendue comme telle (ni autour de moi a mon avis)…et donc intéressant comme point de vue
Ah bah, 300’000 fois moins connus, les Grapefruit ont eux aussi semé une émerveillée confusion. Eux également liés à Lennon et au bouquin d’Ono.
Le monde « Beatles » est vaste, infini, il ne se limite pas à 4 garçons dans le vent. -
22 novembre 2019 à 5 h 00 min #116472
Eric
ParticipantBonjour à tous
Chose curieuse chez moi : globalement, je préfère les albums de mccartney à ceux de Lennon passé imagine, mais pourtant, je préfère un bon best of de Lennon à une compilation de mccartney couvrant les années 70.
Alors Lennon plutôt 45 tours et mccartney plutôt album ? -
22 novembre 2019 à 5 h 36 min #116473
4JB
ParticipantBonjour à tous
Chose curieuse chez moi : globalement, je préfère les albums de mccartney à ceux de Lennon passé imagine, mais pourtant, je préfère un bon best of de Lennon à une compilation de mccartney couvrant les années 70.
Alors Lennon plutôt 45 tours et mccartney plutôt album ?Lennon est un menteur, il le ne faut pas croire tout ce qu’il a raconté.
Tiens : il publie des singles wow! (Give Peace A Chance, Cold Turkey, Instant Karma, Power To The People) avant de s’arrondir. C’est en 1973 que John Lennon aurait du faire appel à Dave Edmunds, aux Groovies, à Chilton ou à Wilko Johnson pour le remettre sur les rails des singles. Ça ne c’est pas fait, le malheureux s’en est remis, par paresse peut-être (on ne sait pas !!!) au conforme et, ouch!, à Elton John. Là, le temps passé pour témoin, c’était foutu.
Ho ?
Ben oui, Lennon aurait pu choisir Steve Hillage, Peter Hammil ou Robert Wyatt, ils n’auraient pas dit non. Suppose.
Peu importe la fin ?
Pas si sûr.-
22 novembre 2019 à 7 h 38 min #116475
Flowers
Participantle malheureux s’en est remis, par paresse peut-être (on ne sait pas !!!) au conforme et, ouch!, à Elton John. Là, le temps passé pour témoin, c’était foutu. Ben oui, Lennon aurait pu choisir Steve Hillage, Peter Hammil ou Robert Wyatt, ils n’auraient pas dit non. Suppose.
oui ce virage est curieux…ahh par paresse probablement…en tous cas c’est comme ça que le voie, mais on ne va pas lui en vouloir c’était son parcours, Lennon vivant aurait peut-etre bien arrété la musique depuis un bon moment, le sentiment d’avoir fait le tour, c’était un homme multifacettes et il serait passé à autre chose meme si on ne saura jamais…alors que Macca lui est l’homme d’une seule discipline – la musique – et multifacettes à l’intérieur meme de cette discipline creusée en profondeur, il aura tenté énormément de styles ce qui faisait chier Lennon, pas son truc. D’ou la variété de la palette de tons des albums et morceaux de Macca, bien plus que Lennon que ç gonflait, mais qui en revanche avait d’autres cordes à son arc. Bref, en gros, Lennon c’est Lennon : un monde, un univers, alors que Macca, c’est un « musicien ». Il aime ça et il le fait pas mal.
-
-
23 novembre 2019 à 3 h 10 min #116489
Laurent
ParticipantLa carrière solo de Lennon ne m’intéresse pas.
Un OVNI génial avec Instant Karma puis presque plus rien.
Les deux premiers albums vénérés par les fans m’ennuie totalement.
Plastic Ono Band est un exercice auto-centré vain, pesant et lourdingue malgré le magnifique God.
Imagine est une moitié d’album complété par des pistes à la va comme j-te-pousse de celui qui livré à lui-même érigera le dilettantisme et l’à peu près en dogme.
Vous me direz que la moitié d’Imagine vole haut.
Oui, même si certains titres avaient été mûris durant la décennie glorieuse.
Après le néant ou presque ! Le somptueux Mind Games horriblement arrangé et produit ne cachant pas la forêt.
Tout cela se terminant par l’odieux Double Fantaisy dont certains titres, tel Dear Yoko, n’aurait pas trouvé preneur à l’eurovision.
Je n’écoute pas Lennon en solo et lui préfère de beaucoup Paul et Georges dont l’œuvre solitaire n’est pas exempt de reproches, mais qui vole nettement plus haut. -
23 novembre 2019 à 14 h 33 min #116492
Eric
ParticipantAh, je sais pas, mais des trucs comme New York City, Woman Is A Nigger Of The World, Mind Games, Steel And Glass, Watching The Wheels, Woman… C’est parfois produit avec les pieds, comme pour Harrison, mais y’a toujours un petit quelque chose. Les versions de travail que l’on peut entendre sur son Antho (la grosse boîte), je pense à Steel And Glass par exemple, sont à tomber.
-
23 novembre 2019 à 22 h 35 min #116496
4JB
ParticipantAh, je sais pas, mais des trucs comme New York City, Woman Is A Nigger Of The World, Mind Games, Steel And Glass, Watching The Wheels, Woman… C’est parfois produit avec les pieds (…)
De l’importance des remixes du début des années 2000, (pas les remasters qui ont suivi en 2010 !) : certaines fautes de goût n’y sont pas entièrement gommées, mais l’écoute se révèle gratifiante, ça ne sonne plus comme si ç’avait été produit en ex-RDA.
Hélas agencée sans souci de chronologie*, la compilation ‘Working Class Hero: The Definitive Lennon’ (2005) est forte des nouveaux mixes et de la version avec deux Cheap Trick de ‘I’m Losing You’.* ‘Watching The Wheels’ précédée de ‘Imagine’ fait ressortir l’aspect « remake en un poil moins bien » de la première. 38 chansons dont les 2/3 rappellent à quel point Lennon était talentueux.
—
Sinon, ce EP (au format CD, 2003) propose une version plus longue d’Instant Karma :
-
25 novembre 2019 à 3 h 43 min #116514
Olivier Northern Son
ParticipantPour George et John, j’ai souvent l’impression qu’il y avait trop de copains dans le studio!
-
26 novembre 2019 à 20 h 45 min #116532
rorold
ParticipantDe l’importance de l’équipe qui entoure un ou des artistes.. quand on voit la qualité somptueuse des enregistrements des Beatles … et de ce qui est fait après , au secours… pauvre Mind Games il sonne comme » If You Can Believe Your Eyes and Ears » des mamas and papas, ça fait pleurer quand même !
-
26 novembre 2019 à 20 h 47 min #116535
rorold
ParticipantDe l’importance de l’équipe qui entoure un ou des artistes.. quand on voit la qualité somptueuse des enregistrements des Beatles … et de ce qui est fait après , au secours… pauvre Mind Games il sonne comme » If You Can Believe Your Eyes and Ears » des mamas and papas, ça fait pleurer quand même !
-
26 novembre 2019 à 22 h 01 min #116539
4JB
ParticipantDe l’importance de l’équipe qui entoure un ou des artistes.. quand on voit la qualité somptueuse des enregistrements des Beatles … et de ce qui est fait après , au secours… pauvre Mind Games il sonne comme » If You Can Believe Your Eyes and Ears » des mamas and papas, ça fait pleurer quand même !
Je parle dans le vide. Pas grave, ça remet certaines pendules à l’heure.
Se focaliser sur les misères passées plutôt que participer à un update salvateur. Toujours piquer les invraisemblables erreurs/horreurs plutôt que d’apprécier les qualités d’un Lennon inchangé, mais (re)mis en valeur.
Il faudra un jour piger que John Lennon n’avait pas une oreille d’ingénieur du son, encore moins de mixeur. Son concept était de faire vite, comme dans les ’50s. Mais ça ne marche pas. Lennon n’a rien compris, il pensait qu’il suffisait de placer des micros et de compresser. -
26 novembre 2019 à 23 h 20 min #116544
Eric
ParticipantPour George et John, j’ai souvent l’impression qu’il y avait trop de copains dans le studio!
oui, c’est bien vu ! C’est vrai que ces deux là préféraient s’entourer de bons copains en studio, les mêmes d’ailleurs, les Voorman, Jesse Ed Davies, Et consort… Parfois pour le meilleur, comme Living in the material world de Harrison, ou le pire comme Extra Texture du même. Mais McCartney aussi à fait des choix étranges dans le choix de ses musiciens par exemple, le premier guitariste des wings, dont je ne connais pas le nom, c’est pour moi une erreur de casting manifeste.
-
27 novembre 2019 à 0 h 01 min #116545
Flowers
ParticipantPour George et John, j’ai souvent l’impression qu’il y avait trop de copains dans le studio!
oui oh je ne sais pas si c’est une explication suffisante, Macca avait déjà les siens ! bien allumés quand meme…:-) mais il parvient a tenir le cap de l’interview…
-
27 novembre 2019 à 3 h 34 min #116547
rorold
ParticipantDe l’importance de l’équipe qui entoure un ou des artistes.. quand on voit la qualité somptueuse des enregistrements des Beatles … et de ce qui est fait après , au secours… pauvre Mind Games il sonne comme » If You Can Believe Your Eyes and Ears » des mamas and papas, ça fait pleurer quand même !
Je parle dans le vide. Pas grave, ça remet certaines pendules à l’heure.
Se focaliser sur les misères passées plutôt que participer à un update salvateur. Toujours piquer les invraisemblables erreurs/horreurs plutôt que d’apprécier les qualités d’un Lennon inchangé, mais (re)mis en valeur.
Il faudra un jour piger que John Lennon n’avait pas une oreille d’ingénieur du son, encore moins de mixeur. Son concept était de faire vite, comme dans les ’50s. Mais ça ne marche pas. Lennon n’a rien compris, il pensait qu’il suffisait de placer des micros et de compresser.J’avais bien saisi ce que tu disais JB, une œuvre musicale c’est un tout… le talent de l’artiste et ce qui l’entoure mes propos illustraient simplement ce fait !
Si on recadre sur John, ok il était le même, ok John est resté John ect… mais pour moi il a au moins perdu 50 % de son talent sans son partenariat avec Paul ( son partenariat avec Yoko on en parlera même pas ! ), il
Y a bien eu du George et du Ringo par ci par là, mais ça n’était plus pareil … et je ne m’étalerai pas sur son côté peace and love, not war et compagnie qui m’exaspère aujourd’hui… -
27 novembre 2019 à 3 h 53 min #116548
4JB
ParticipantDe l’importance de l’équipe qui entoure un ou des artistes.. quand on voit la qualité somptueuse des enregistrements des Beatles … et de ce qui est fait après , au secours… pauvre Mind Games il sonne comme » If You Can Believe Your Eyes and Ears » des mamas and papas, ça fait pleurer quand même !
Je parle dans le vide. Pas grave, ça remet certaines pendules à l’heure.
Se focaliser sur les misères passées plutôt que participer à un update salvateur. Toujours piquer les invraisemblables erreurs/horreurs plutôt que d’apprécier les qualités d’un Lennon inchangé, mais (re)mis en valeur.
Il faudra un jour piger que John Lennon n’avait pas une oreille d’ingénieur du son, encore moins de mixeur. Son concept était de faire vite, comme dans les ’50s. Mais ça ne marche pas. Lennon n’a rien compris, il pensait qu’il suffisait de placer des micros et de compresser.J’avais bien saisi ce que tu disais JB, une œuvre musicale c’est un tout… le talent de l’artiste et ce qui l’entoure mes propos illustraient simplement ce fait !
Si on recadre sur John, ok il était le même, ok John est resté John ect… mais pour moi il a au moins perdu 50 % de son talent sans son partenariat avec Paul ( son partenariat avec Yoko on en parlera même pas ! ), il
Y a bien eu du George et du Ringo par ci par là, mais ça n’était plus pareil … et je ne m’étalerai pas sur son côté peace and love, not war et compagnie qui m’exaspère aujourd’hui…Ooops.
Il n’était pas affaire de l’œuvre Lennon, mais des remixes du début des années 2000. Bien sûr, on arguera que c’est juste du son. Ces disques en avaient besoin, contrairement à un ‘Abbey Road’ des Beatles, impeccable dès 1969.
C’est très difficile à faire comprendre, les Beatles sont toujours « en vie » alors que Lennon est décédé.
Bon, il s’agit d’entendre les bonnes chansons au mieux de leur forme, pas de sanctifier une espèce d’icône. Tout bêtement. La musique, John Lennon…. -
27 novembre 2019 à 10 h 46 min #116552
rorold
ParticipantEt oui on est bien forcés de l’admettre… les statistiques, les chiffres le montrent les Beatles sont intemporels… mais John est une icône sanctifiée qui se meurt, et ce n’est pas ça veuve qui va raviver ses cendres , il lui faudrait au moins Giles Martin pour sortir les 2/3 albums mythiques de sa carrière solo du garage bien poussiéreux ou ils sont entreposés…
-
27 novembre 2019 à 21 h 38 min #116555
Alain Lacasse
ParticipantBonjour à tous!,
L’an prochain, ce sera le 40ème anniversaire de l’assassinat de John. Attendez-vous à ce que Yoko ne laisse pas passer ce triste événement en douce. Et même si elle le voulait, les admirateurs de l’ex-Beatle et les médias se chargeront de rappeler le tout à la mémoire de tous.
Merci beaucoup et à bientôt!
Alain Lacasse.
-
-
27 novembre 2019 à 17 h 46 min #116553
Flowers
Participantles statistiques, les chiffres le montrent les Beatles sont intemporels… mais John est une icône sanctifiée qui se meurt,
tiens ce n’est pas trop mon impression personnelle, encore que oui, Lennon – c’est le revers de la médaille – est très identifié au pacifisme ambiant du début des 70 (alors que les Beatles sont bien plus « universels ») ce qui en fait d’abord un personnage historique bien dans une époque, il ne faut quand meme pas oublier que ça fait 40 ans qu’il est mort. Une vie…Donc il reste une icone qui ne se meurt pas forcément, avec ses deux trois tubes totalement intemporels. Ce n’est pas parce qu’on va rééditer je ne sais quel « Plastic Ono at the speed of sound » que ça va relancer une mode. Tout le monde connait Lennon et son histoire. Il est là comme grande figure du XXe siècle, ce qui est normal et ça tient tout seul, pas de problème.
-
27 novembre 2019 à 17 h 48 min #116554
Flowers
Participantil s’agit d’entendre les bonnes chansons au mieux de leur forme, pas de sanctifier une espèce d’icône. Tout bêtement.
pas mieux
-
28 novembre 2019 à 5 h 23 min #116562
4JB
ParticipantÊtes-vous plutôt Rock’n’Roll ou plutôt Choba?
(Baby baby one more time), choisir la version décente de ‘Rock’n’Roll’, tout y est, on a juste pas envie d’éjecter le disque après 10 minutes. A moins de tremper dans le fétichisme.
Hum.
Celle-ci, donc, ©2004.UNE seule chanson fait la différence , ‘Stand By Me’. Rien de si émouvant chez McCartney, si ?
Oui ?
Vous transmettrez votre coup de cœur au secrétariat qui fera suivre. Tous les résultats sur popol-lalegende.com. -
28 novembre 2019 à 8 h 58 min #116566
marcbeatles
ParticipantAh bon, moi j’en vois plein du Mc sur ses 2 albums qui valent largement ce « Stand by me » et consorts poussifs de RnR.
Au hasard Ain t that a shame sur le 1er album du Mc ou Cracking up sur le deuxième.
Sinon, j’ai redonné une chance à Walls and Bridges tout à l’heure, mais franchement, je n’ai pu aller au bout, disons de What you got ou Beef Jerky, par exemple. Et quand au poussif 45 avec Elton….quelle daube
Alors pourquoi lennon serait devenu génial sur RnR, en même temps, et avec les mêmes gusses ???
Je le répète, pour moi, OK, Lennon a eu quelques fulgurances (God, Imagine, Mind games, watching the wheels), mais les doigts des mains me suffisent.
Pour Paul, il me faut beaucoup de mains…..
Et c’est le cas pour l’exemple précis des albums de reprises rock. -
28 novembre 2019 à 9 h 27 min #116568
marcbeatles
ParticipantTiens, j y pense, quel bib up a lula vous préférez ?
Moi celui du Mac -
28 novembre 2019 à 12 h 14 min #116569
ALLIGATOR
ParticipantAlala les potos vous êtes vraiment insortables.
Eux ont sortis chacun le leur.
Et pour le coup je fais mon Jiji (mon suisse),je reste neutre.
Je retiens les 2′La la la…???
Les Beatles ?
Du parfum pour mes oreilles... -
28 novembre 2019 à 18 h 45 min #116570
Flowers
ParticipantAu hasard Ain t that a shame sur le 1er album du Mc ou Cracking up sur le deuxième.
oui mais on parle d’émotion, de tripes, et c’est clair que pour moi « Stand by me » emporte quand meme le morceau.
mais je suis d’accord avec toi sur Be Bop A Lula -
28 novembre 2019 à 18 h 52 min #116571
Flowers
ParticipantÊtes-vous plutôt Rock’n’Roll ou plutôt Choba?
Tiens ils ont gommé « Summertime » de la dernière réédition de Choba…
Ouf. C’est pas un mal, on respire. Meme si c’est un peu réécrire l’histoire et gommer une photo honteuse, à la soviétique.
On ne dira rien, Mr Paul, bien sur, et vous pouvez reprendre une activité normale. -
28 novembre 2019 à 19 h 55 min #116573
rorold
ParticipantÊtes-vous plutôt Rock’n’Roll ou plutôt Choba?
Tiens ils ont gommé « Summertime » de la dernière réédition de Choba…
Ouf. C’est pas un mal, on respire. Meme si c’est un peu réécrire l’histoire et gommer une photo honteuse, à la soviétique.
On ne dira rien, Mr Paul, bien sur, et vous pouvez reprendre une activité normale.elle était bien cette version de summertime pourtant !..; même si hors sujet, elle n’arrive pas à la cheville de celle de Janis Joplin sur Cheap thrills , faut pas abuser quand même !
-
28 novembre 2019 à 20 h 45 min #116574
Eric
ParticipantSur le DVD Put It There, on peut voir et entendre mccartney et ses musiciens d’alors en répétition, pour la tournée de 89. Un court passage nous donne à entendre une version de Summertime carrément supérieure à celle de l’album russe. Paul est à la lead guitar sur ce passage.
-
28 novembre 2019 à 21 h 24 min #116580
4JB
ParticipantTiens ils ont gommé « Summertime » de la dernière réédition de Choba…
Quelques autres covers de Summertime plutôt réussies, par Billie Hliday, Ela Fitzgerald, Sam Cooke ou encore Ricky Nelson, Norah Jones. Il en existe olus de…20 000 enregistrements !
-
28 novembre 2019 à 22 h 58 min #116581
rorold
ParticipantJe citai l’une des versions les plus inoubliable pour moi hehe !
-
29 novembre 2019 à 3 h 05 min #116583
4JB
ParticipantOoops, j’ai écrit à toute bise, pardon pour les misérables fautes.
Concernant ‘Summertime’, voici un aperçu (incomplet) :https://secondhandsongs.com/work/4681
Avec toutes mes excuses.
-
1 décembre 2019 à 22 h 07 min #116601
Sim
ParticipantConcernant les projets de reprises : j aurais reve d un choba et d un run devil run avec Brian setzer à la guitare et aux choeurs (leurs voix se marrieraient parfaitement. ). Brian
Setzer avait tendu une perche dans la presse mais les 2 poissons ne naviguent pas dans les ^m eaux .
Pour lennon un groupe resserre avec link way ca aurait été pas mal non plus… -
1 décembre 2019 à 22 h 37 min #116607
4JB
ParticipantAh oui, Link Wray. Un sorcier.
-
5 janvier 2020 à 8 h 31 min #116941
Pop Go The Beatles
ParticipantCe topic me heurte. La réalité est la, la fin des Beatles t’oblige inconsciemment à comparer leurs travaux après la séparation. J’ai toujours aimé Paul et je me suis intéressé dans les années 80 à sa musique des années 70 parce que je considérais à tort qu’il continuait le rêve alors que John t’expliquait le contraire dans ses chansons. The dream is over.
Paul est carriériste, il a construit son œuvre tout seul en musicien avant tout et en montant sa petite sarl pour survivre et retrouver, par le respect et le travail, les sommets. chapeau.
John n’est pas carriériste mais il s’est embourgeoisé comme un trotskiste qui rêve de révolution dans un canapé douillet avec mother qui décidera que désormais tu iras faire dodo avec may pang. Déjà les deux fabs ne sont pas sur le même ring.
Pendant que Paul apprenait à Linda à jouer du synthétiseur devant 50000 personnes, John se torchait la gueule avec Keith moon. Je me demande d’ailleurs comment John a pu réaliser 5 a 6 opus entre 1970 et 1975.
Verdict donc.
De 70 a 73 Lennon et harrison écrasent le fermier mc cartney.
De 73 a 75 Paul leur éclatent la gueule. Band on the run est un classique pour la vie et venus and mars est solide comme disent les Anglo saxons lorsqu’ils font l’éloge d’un disque.
De 75 a 80 John jettent l’éponge et Paul s‘éponge à faire des disques comme d’autres font des romans chaque automne qui marchent mais personne n’est dupe, ce n’est plus le haut du pavé. Wings at the speed of sound est une faute de goût à mon sens et montre le visage boulimique de Paul. Let them in ! franchement.La sincérité lennonienne malgré un baobab dans la main sur des titres comme scared , jealous guy , mother, mind games te prend aux tripes. Il ne veut plus être un Beatle. Mais en fait, il l’est. Imagine, jealous Guy, mind games valent Julia, across the universe et in my life.
Paul malgré un succès incroyables et de grands albums ne te donnent pas l’emotion qui tue bien que te donnant par son succès et son talent l’illusion de poursuivre le mythe. En fait non, on dirait du Beatle mais Paul est passé à autre chose. Petit coquin. My love, treat her gently ne vaudront jamais hey Jude ou let it be. Mais band on the ’ hi hi hi et jet si elles ne valent pas back in the ussr ni got to get you into my life sont de grands titres live. Le salaud: tout lui réussit.
En termes de succès , Paul évince John, c’est une évidence. Paul pense comme un groupe et est au four et au moulin pour les disques carburant nécessaires pour les concerts. Il gagne en endurance ce qu’il perd en pertinence. Paul ne vieillit pas et est increvable. Il est plus qu’un ex beatle tout en jouant sur la confusion de son auditeur qui, comme moi, le croit.
En termes de sincérité et de profondeur Lennon évince Paul car ses singles me semblent mieux armés pour durer. Le même homme donnant l’impression dans le même temps d’être dans l’incapacité de s’inscrire physiquement dans la durée. Le type guitare en pogne sur scène sur les images que j’ai pu voir me donne le sentiment d’être paumé. Vieillissement prématuré de l’homme rincé par les Beatles voulant les fuir mais est resté un beatle en réalité. Le beatle c’est John qui veut te faire comprendre l’inverse; l’ex beatle est Paul qui se nourrit de succès comme un beatle qu’il ne veut plus être.
John veut tuer son ego pendant que Paul nourrit le sien. Comment les comparer des lors? Aussi différents en solo que siamois durant leur splendeur.
-
6 janvier 2020 à 10 h 08 min #116949
Macaaron
Participantcomplètement d’accord, je ne saurai dire mieux !
-
6 janvier 2020 à 19 h 36 min #116950
Matthieu
ParticipantPaul est carriériste […]
John n’est pas carriériste
Oui, ça c’est tout à fait vrai, et cela a commencé dès la seconde partie des Beatles, en gros à partir de Revolver, où Paul devient un vrai boulimique de boulot.
Let them in ! franchement.
Là, par contre, ‘Let’em in’ est, à mon avis, LA réussite de ‘Speed Of Sound’.
-
6 janvier 2020 à 21 h 32 min #116956
4JB
ParticipantLà, par contre, ‘Let’em in’ est, à mon avis, LA réussite de ‘Speed Of Sound’.
C’est là où, en effet, McCartney se montrait majestueux. Un style, de la manière et le truc qui accroche. Le piano a l’air tout bête, mais pas tant que ça. Mention pour les arrangements, finauds, amenés.
Un peu plus loin, l’horreur, ‘Beware My Love’.
Oh oui, une misère appréciée parce que l’oncle Paul la chante hyper bien, style « comme on l’aime ». -
8 janvier 2020 à 20 h 07 min #116992
Eric
Participant(…)
Paul malgré un succès incroyables et de grands albums ne te donnent pas l’emotion qui tue bien que te donnant par son succès et son talent l’illusion de poursuivre le mythe. En fait non, on dirait du Beatle mais Paul est passé à autre chose. Petit coquin. My love, treat her gently ne vaudront jamais hey Jude ou let it be. Mais band on the ’ hi hi hi et jet si elles ne valent pas back in the ussr ni got to get you into my life sont de grands titres live. Le salaud: tout lui réussit.
En termes de succès , Paul évince John, c’est une évidence. Paul pense comme un groupe et est au four et au moulin pour les disques carburant nécessaires pour les concerts. Il gagne en endurance ce qu’il perd en pertinence. Paul ne vieillit pas et est increvable. Il est plus qu’un ex beatle tout en jouant sur la confusion de son auditeur qui, comme moi, le croit.
En termes de sincérité et de profondeur Lennon évince Paul car ses singles me semblent mieux armés pour durer. Le même homme donnant l’impression dans le même temps d’être dans l’incapacité de s’inscrire physiquement dans la durée. Le type guitare en pogne sur scène sur les images que j’ai pu voir me donne le sentiment d’être paumé. Vieillissement prématuré de l’homme rincé par les Beatles voulant les fuir mais est resté un beatle en réalité. Le beatle c’est John qui veut te faire comprendre l’inverse; l’ex beatle est Paul qui se nourrit de succès comme un beatle qu’il ne veut plus être.
John veut tuer son ego pendant que Paul nourrit le sien. Comment les comparer des lors? Aussi différents en solo que siamois durant leur splendeur.
Bonjour
Mais c’est tellement ça ! -
9 janvier 2020 à 0 h 20 min #117000
Laurent
ParticipantLa comparaison est improssible en effet.
Si Paul fait carrière, John dès le début de la décennie semble voguer au grès des courants improbables qui l’entraîne dans toutes les galéjades possibles.
De carrière, il ne serait être question pour John.
Une poignée d’albums à la va comme-j ’te-pousse.
Une ambition réduite au minimum syndicale qui lui permet de flatter son poil dans la main qui dès 66 commençait à poindre le bout du nez.
Quelques heures de studio par-ci par-là avec un objectif en-tête : faire vite et repartir flemmarder le nez au vent.
Arrangements sommaires, compositions faiblardes à gogo, requins de studio pour rallonger la sauce et le maestro s’improvisant piètre producteur.
Sans Martin et les 3 autres, le Graal devenait inatteignable.
On l’adore, John, mais ce grand dépressif chronique, fragile, sans ressources personnelles et refusant un solide travail thérapeutique aura traverser les années 70 comme une ombre frêle qui aura toute sa vie été gouvernée par les événements et des mentors. (Mimi, Epstein, Beatles, Ono)
-
-
AuteurMessages
- Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.