Post-Beatles : quelques bijoux-fantaisie
Quelque part, un 'Freedom', composé-publié dans l'urgence, rappelle les fulgurances de Lennon. Vite, maintenant, pas dans 10 minutes. Instant Karma ?
Oui, absolument.
La puissance de 'Freedom' n'a pas a être occultée, même si elle fit long feu.
Oui, absolument.
La puissance de 'Freedom' n'a pas a être occultée, même si elle fit long feu.
Il parait que Freedom était composé depuis longtemps déjà, mais peut-être vite aussi.
Ce sont surtout les paroles qui furent instantanées et peut-être auraient-elles gagnées à être d'avantage méditées.
Mais c'est Macca, celui qui fonce et que j'aime. L'air ne manque pas de charme. Un flop, bah, avec une telle carrière...
Ce sont surtout les paroles qui furent instantanées et peut-être auraient-elles gagnées à être d'avantage méditées.
Mais c'est Macca, celui qui fonce et que j'aime. L'air ne manque pas de charme. Un flop, bah, avec une telle carrière...
Personnellement je placerai bien My Valentine dans les "quelques bijoux fantaisies" de Paul... Et le clip en langue des signes avec Nathalie Portman/Johnny Depp est plutôt réussi !
Bien sûr, il y a ceci, peu mis en exergue :
https://www.youtube.com/watch?v=V5kWAfBZw70
Oui, Jeff Lynne a monté son mur du son à lui, aussi solide que celui de Spector. "Trop !" pourraient ronchonner les admiratrices de PJ Harvey égarées là par sortilège.
Et pourtant, c'est au fin fond du truc, irrésistible, plus carré que carré. Et Paulo-les-joues règne en maître.
https://www.youtube.com/watch?v=V5kWAfBZw70
Oui, Jeff Lynne a monté son mur du son à lui, aussi solide que celui de Spector. "Trop !" pourraient ronchonner les admiratrices de PJ Harvey égarées là par sortilège.
Et pourtant, c'est au fin fond du truc, irrésistible, plus carré que carré. Et Paulo-les-joues règne en maître.
Alors là, il s'agit d'une perle de la couronne. Enfouie (in le CD Single 'Fine Line', 2005).
Comment dire ?
- Tout d'abord, notre champion y joue de tout, assure l'ensemble des vocaux. Lead et harmonies. Sous l'impulsion de Nigel Godrich, désireux de tirer le maximum des capacités ©McLeMc.
La chanson démarre façon XTC période Age d'Or. Phénoménale mélodie, prodigieuse suite harmonique. Nous vivons là au cœur du prolifique, et ce n'est pas tout : dès le refrain rock'n'roll, Paul et Nigel dégagent l'horizon, nous sommes comme avec les Beatles, créativité à pleine puissance. L'évidence, ça ne pouvait pas être autrement. Dans le mille, Macca, tes potes défunts s'inclinent, quand tu as un éclair, il illumine.
Comment dire ?
- Tout d'abord, notre champion y joue de tout, assure l'ensemble des vocaux. Lead et harmonies. Sous l'impulsion de Nigel Godrich, désireux de tirer le maximum des capacités ©McLeMc.
La chanson démarre façon XTC période Age d'Or. Phénoménale mélodie, prodigieuse suite harmonique. Nous vivons là au cœur du prolifique, et ce n'est pas tout : dès le refrain rock'n'roll, Paul et Nigel dégagent l'horizon, nous sommes comme avec les Beatles, créativité à pleine puissance. L'évidence, ça ne pouvait pas être autrement. Dans le mille, Macca, tes potes défunts s'inclinent, quand tu as un éclair, il illumine.
Et là, tragédie.
Comment ne pas être humiliés, nous, les auditeurs ?
La chanson démarre comme une suite, parfaite, à 'You've Got to Hide Your Love Away'. Les guitares, la mélodie façon Dylan. La voix, immaculée.
Sauf que, à 0:52, le cataclysme, l'infernal virus qui amène au confinement, à l'isolement.
Alors que nous découvrions un trésor de Lennon.
Tu vois de quelle chanson il s'agit ?
Comment ne pas être humiliés, nous, les auditeurs ?
La chanson démarre comme une suite, parfaite, à 'You've Got to Hide Your Love Away'. Les guitares, la mélodie façon Dylan. La voix, immaculée.
Sauf que, à 0:52, le cataclysme, l'infernal virus qui amène au confinement, à l'isolement.
Alors que nous découvrions un trésor de Lennon.
Tu vois de quelle chanson il s'agit ?
En 2001, el Paulo lâche 'Driving Rain'. Précédé par l'insignifiant 'From a Lover to a Friend', incroyablement vide.
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Oui mais, il y a 'Heather', déclaration romantique à la nouvelle élue.
Wow !
L'heureux homme lui compose un générique !
Oui, genre Châteauvallon, une mélodie digne de Mancini, on entend parfaitement l'amour aux portes du manoir, McCartney attendant sa princesse sur la terrasse.
Et, sacré Popaul, quelques riffs de guitare au milieu, band on the run.
Kitsch ?
Oui, assumé, fort, sans complexes.
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Oui mais, il y a 'Heather', déclaration romantique à la nouvelle élue.
Wow !
L'heureux homme lui compose un générique !
Oui, genre Châteauvallon, une mélodie digne de Mancini, on entend parfaitement l'amour aux portes du manoir, McCartney attendant sa princesse sur la terrasse.
Et, sacré Popaul, quelques riffs de guitare au milieu, band on the run.
Kitsch ?
Oui, assumé, fort, sans complexes.
Sauf erreur jamais publiée officiellement, cette reprise pan! dedans :
https://www.youtube.com/watch?v=d8vX2tvs0ak
Jeff Lynne, Tom Petty et la fine équipe font oublier l'organe vocal monotone -comme d'hab'- du chanteur tellement c'est parfaitement envoyé.
https://www.youtube.com/watch?v=d8vX2tvs0ak
Jeff Lynne, Tom Petty et la fine équipe font oublier l'organe vocal monotone -comme d'hab'- du chanteur tellement c'est parfaitement envoyé.
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- Enregistré le : mer. 15 mars 2017 08:52
JB+ a écrit : ↑mer. 2 févr. 2022 13:37 Et là, tragédie.
Comment ne pas être humiliés, nous, les auditeurs ?
La chanson démarre comme une suite, parfaite, à 'You've Got to Hide Your Love Away'. Les guitares, la mélodie façon Dylan. La voix, immaculée.
Sauf que, à 0:52, le cataclysme, l'infernal virus qui amène au confinement, à l'isolement.
Alors que nous découvrions un trésor de Lennon.
Tu vois de quelle chanson il s'agit ?
The Luck Of The Irish ?JB+ a écrit : ↑mer. 2 févr. 2022 13:37 Et là, tragédie.
Comment ne pas être humiliés, nous, les auditeurs ?
La chanson démarre comme une suite, parfaite, à 'You've Got to Hide Your Love Away'. Les guitares, la mélodie façon Dylan. La voix, immaculée.
Sauf que, à 0:52, le cataclysme, l'infernal virus qui amène au confinement, à l'isolement.
Alors que nous découvrions un trésor de Lennon.
Tu vois de quelle chanson il s'agit ?
Une création de 1969, initialement prévue pour le triple 'All Things Must Pass'. Quelques années plus tard, Monsieur George en fait une version vaguement funky en ouverture du LP 'Thirty Three & 1/3.'
Mouais.
C'est sur 'Early Takes: Volume 1' qu'est publiée en 2012 la version initiale, en travail. Harrison ensorcèle, l'auditeur est sur le cul.