La vérité, elle est là, faut-il l'enfouir ou s'en accommoder ?
Cruel dilemme.
Ono a réussi à se placer partout, elle est hyper forte :
C'est certainement ce pouvoir exercé qui a tracé les contours, qui d'autre ? May Pang, Nilsson, Elton John, Phil Spector, Bill Elliot ? Allons allons,
power to the mother.
C'est difficile de faire comme si ok, c'était pourtant exactement comme ça.
L'histoire est écrite, amis, vous ne la changerez pas. Il s'agit juste de la comprendre, manière Columbo. Les petits détails, ce qui cloche ou ne colle pas. Après, puzzle réuni, pièces emboîtées, tu arrives à une image presque parfaite.
Presque ?
La perfection n'existe pas, même si 'Déjà Vu' de CSN&Y s'en approche ou BB en 1967.
Ho ?
C'est en nous que ça se passe, en toi.
Voilà la suprématie de Yoko Ono, sa puissance, paraître ultrasexy en 1971, short et collants, cigarette en main. Par exemple. Une déesse aux portes de la décadence mais pas trop.