Nouveau et (re)nouveau
Je ne sais pas qui c'est mais, vu d'ici, la madame doit avoir une impressionnante voix de poitrine !
Toi qui lis ces mots, tu connais T Bone Burnett, peut-être sans le savoir. Il a sa discographie personnelle certes, une bonne dizaine d'albums, dont l'exceptionnel 'Proof Through the Night', un temps fort de 1983.
Mais, est surtout connu pour ses travaux de producteur/metteur en son pour Dylan, Robert Plant, Costello, Townshend, Gregg Allman, Mellencamp, etc. etc.
Et voilà son nouveau disque :
A vrai dire, pas foudroyant. Les chansons sont en manque d'accroches mélodiques. Mais il y a un esprit.
Séduisant ?
Mais, est surtout connu pour ses travaux de producteur/metteur en son pour Dylan, Robert Plant, Costello, Townshend, Gregg Allman, Mellencamp, etc. etc.
Et voilà son nouveau disque :
A vrai dire, pas foudroyant. Les chansons sont en manque d'accroches mélodiques. Mais il y a un esprit.
Séduisant ?
Coffret de 6 discs pour les fans de l'Elvis live durant les 70s, début décembre :
https://theseconddisc.com/2022/08/12/bu ... w-box-set/
https://theseconddisc.com/2022/08/12/bu ... w-box-set/
24 productions de Gary Usher pour. entre autres, les Byrds, Sagittarius, les Neptunes, Brian Wilson, The Peanut Butter Conspiracy, Gene Clark, etc. etc. Première classe.
https://www.amazon.co.uk/dp/B0B4S863TG/ ... e2nddis-21
Apres woodstock CCR ouvre a nouveau ses coffres !
https://youtu.be/zfdtt6tKB4Y
un DVD cheap de tres mauvaise qualité du concert a circulé il y a qq années
https://youtu.be/zfdtt6tKB4Y
un DVD cheap de tres mauvaise qualité du concert a circulé il y a qq années
ENFIN la sortie officielle d'un live de décembre 1983 qui a sa place dans la "petite" histoire du rock. Il s'agit du concert du supergroupe ASIA du 7 décembre, retransmit en direct en stéréo par MTV (une première) ainsi que par des centaines de radios via Westwood One. Il avait été publié en Laser Disc et en VHS (que je possède toujours) en 1984; mais jamais en disque officiellement. C'est enfin fait avec une remasterisation et un remix de 2022. On y retrouve donc Steve Howe (Tomorrow, Yes) et Carl Palmer (Atomic Rooster, ELP) en feu, ainsi que Geoff Downes aux claviers (Buggles, Yes). La particularité de ce concert, outre son aspect historique, est l'absence de John Wetton (UK, King Crimson) à la basse et au chant, débarqué par le management du groupe, et remplacé par l'excellentissime Greg Lake (King Crimson, ELP). Cette Mark 2 du groupe, appelée aussi "2+2" car comprenant 2 membres de Yes et 2 membres d'ELP livre un concert fabuleux où tous les éléments d'un groupe prog sont mis sur la table. Si il fallait posséder un seul disque live du groupe, c'est bien celui-là.
1983, Greg Lake est encore un chanteur de belle tenue.
En tant que musicien, il sera excellent jusqu'à la fin, r.i.p. 2016.
ASIA a tapé fort avec le hit 'Heat of the Moment', bien FM, John Wetton assurait un lead vocal costaud, et puis après, manière YES, ils se sont chamaillés, mais gardé un nom couronné de succès.
En tant que musicien, il sera excellent jusqu'à la fin, r.i.p. 2016.
ASIA a tapé fort avec le hit 'Heat of the Moment', bien FM, John Wetton assurait un lead vocal costaud, et puis après, manière YES, ils se sont chamaillés, mais gardé un nom couronné de succès.
La curiosité est le support ; un CD Single...
Les amateurs old school de publications papier auront, éventuellement, relevé le 5***** adressé à l'étourdissante anthologie des travaux '60s de Godley & Creme (voir un peu avant dans ce fil) in le magazine Shindig!.
Non ?
Intérêt -on s'y fait- zéro ?
Reste la musique, les chansons.
Non ?
Intérêt -on s'y fait- zéro ?
Reste la musique, les chansons.
JB+ a écrit : ↑ven. 26 août 2022 12:25La curiosité est le support ; un CD Single...
Oui, surprenant, mais ceci montre aussi l'état dans lequel se trouve la vente physique des disques, ainsi que la stratégie des maisons de disques aujourd'hui. Probablement que la maison de disques estime qu'il y a de l'argent à se faire rapidement en sortant le titre sous forme de support physique. L'intelligence aurait peut être été de publier un autre titre de Kate Bush pour faire entendre aux acheteurs américains qu'elle n'est pas une one hit wonder et de publier un autre titre en plus. Par exemple du même album "Cloudbursting" avec sa superbe vidéo avec Donald Sutherland et réalisée par nul autre que Terry Gilliam.
Mettons-nous au clair, en mode 2022, d'ac ?
- Le streaming occupe la place centrale, ce n'est pas moi qui le dis.
- Le vinyle* prend une place prépondérante dans le marché dit 'physique'.
- Le CD a reculé, monstre reculé, mais il pourrait revenir. Très légère hausse, pas significatif. 3 x rien.
" Le marché du vinyle actuel est le plus fallacieux de toute l'histoire de la musique enregistrée. Il s'agit simplement de vendre du support physique. Peu importe que les masters -nouveautés ou reissues- aient été traitées en numérique, le bidochon croit ce qu'on lui dit. Hey, Robert, il est temps de tourner les merguez.
On est bien d'accord sur l'état dramatique du business autour de la musique. Oui, le streaming est malheureusement le format dominant, qui est une catastrophe sans nom. Je suis devenu un vieux con qui continu d'acheter du physique et je refuse obstinément à m'abonner à un service de streaming, où l'argent va essentiellement dans la poche d'informaticiens que d'artistes. Autre chose dommageable, le nombre de personnes qui "connaissent tout sur tout" grâce à ces sites, alors qu'en réalité, ce n'est pas parce qu'ils ont accès à tout, qu'ils ont tout "écoutés".JB+ a écrit : ↑ven. 26 août 2022 14:00Mettons-nous au clair, en mode 2022, d'ac ?
- Le streaming occupe la place centrale, ce n'est pas moi qui le dis.
- Le vinyle* prend une place prépondérante dans le marché dit 'physique'.
- Le CD a reculé, monstre reculé, mais il pourrait revenir. Très légère hausse, pas significatif. 3 x rien.
" Le marché du vinyle actuel est le plus fallacieux de toute l'histoire de la musique enregistrée. Il s'agit simplement de vendre du support physique. Peu importe que les masters -nouveautés ou reissues- aient été traitées en numérique, le bidochon croit ce qu'on lui dit. Hey, Robert, il est temps de tourner les merguez.
Concernant le vinyle, ayant été addict pendant 20 ans à ce format, je suis passé aux CD voilà longtemps, même si le vinyle reste le plus bel objet. Mais là aussi, quand je vois certaines connaissances acheter du vinyle et que je leur demande pourquoi, la réponse est souvent la même : "le son y est meilleur" ou alors "le son est plus chaleureux". Ce qui me fait toujours autant rire, vu que les masters digitaux utilisés pour le CD sont les mêmes masters pour les vinyles. Donc ce sursaut du vinyle est étrange pour ma part, J'espère en tout cas que le CD va également reprendre des couleurs de façon durable.
Jori parle juste. UGH !
Ce n'est pas à l'ordre du jour, le consommateur moyen ne connait même pas la différence entre compression audio et compression des bits numériques : ce n'est pas son domaine, il mange ce qu'on lui donne à manger, content.
Ça s'appelle de le régression, le consommateur de musique, sans le vouloir, participe au nivellement par le bas. Sans le vouloir. Il suit la circulation.
Ce n'est pas à l'ordre du jour, le consommateur moyen ne connait même pas la différence entre compression audio et compression des bits numériques : ce n'est pas son domaine, il mange ce qu'on lui donne à manger, content.
Ça s'appelle de le régression, le consommateur de musique, sans le vouloir, participe au nivellement par le bas. Sans le vouloir. Il suit la circulation.
Tiens Greg Lake voir plus haut, celui d'Emerson, Lake & Palmer (ex-King Crimson, entre autres), publication ce w-e d'un coffret de 12 vinyles, 45 tours, les singles du groupe. Assez étonnant, tant le trio est, à juste titre, lié au format 33 tours : longues suites, accent mis sur l'ambition des 3 lascars à créer des œuvres néo-classiques plutôt que des smash hits pop. Et bien, tout n'est pas toujours tel qu'on l'imaginait.
Douce déception.
- Le son est bien, rien à dire, les discs sont placés dans un coffret solide, pochettes en carton épais pour chacun d'eux.
Mais pas de livret, tout juste un minuscule feuillet généraliste. Pas de dates, zéro photo de Jerry Lee. Les 5 pochettes reprennent le même visuel, seul les numéros changent. On ne peut donc pas suivre l'aventure Sun du killer en s'instruisant au fur et à mesure, la culture prend la douche. Froide.
Alors oui, l'internet est notre ami. Sauf que ça s'apparente à de la recherche scolaire plutôt qu'à un parcours son, textes et images, aisé, plaisant. Pas d'importance, ou si peu, pour un amateur moyen de Jerry Lee Lewis. Ok. Mais celui-ci ne va pas acquérir ce coffret, une compile plus simple - les hits '50s !- suffira à son bonheur.