La réédition 'Music On CD'* du premier LP des Flestones, 1982.
Pas de remaster, et là, tant mieux, le disque est excellemment produit, enregistré, mixé.
11 titres, plus de la moitié sont de 1ère classe, les autres font l'affaire aussi.
Influences garage, ça ne sonne pourtant ni rétro ni revival. Mais très New York.
4,99 étoiles sur 5.
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* mais oui, ça existe bel et bien, c'est une collection actuelle :
https://musiconcd.eu/
En écoute chez toi maintenant
Heuu, et bien....
Ça varie trop.
Selon les périodes, les heures, l'humeur, le temps qu'il fait.
Ainsi, tel ou tel jour, emballement pub rock, un titre des Inmates amenant Dr. Feelgood, puis Eddie and the Hot Rods etc. La playlist se fait toute seule.
Le lendemain, envie de nouveautés, de surprises, rien à voir avec les écoutes de 24h plus tôt.
Le surlendemain ? Rock'n'Roll '50s, The Johnny Burnette Trio, Ronnie Dawson, Jerry Lee chez Sun, et tiens, un saut vers le premier Stray Cats, amenant naturellement à Dave Edmunds et bing!, un bon petit Nick Lowe entre en piste.
Des chansons, des sélections, presque jamais d'album en entier.
Lequel Fleshtones appelle les Hoodoo Gurus;
...puis, impulsion, ce titre impérial, grand favori de tous les temps :
https://www.youtube.com/watch?v=BU9qgCr_XB8
En 1972, Alfred Hitchcock est de retour à Londres. Un nouveau film, son avant-dernier, Frenzy.
Il mandate l'admirable Henry Mancini* pour la musique originale. Lequel se met illico au travail, il s'inspire un peu de Bernard Herrmann et livre sa copie à Sir Hitch.
Lequel, contre toute attente, la refuse ! C'est la seule fois -connue- où Mancini voit l'une de ses créations rejetée.
De fait, c'est au britannique Ron Goodwin que l'on confie le projet. Du bon travail, moins référencé que la partition de Mancini. Il faut se souvenir qu'Hitchcock s'était salement brouillé avec le génial Bernard Herrmann. Et que, par conséquent (tu suis ?), les compositions herrmaniennes de Mancini ont été balayées.
Le disc ci-dessus (Quartet Records, tirage limité) présente les deux scores, celle de Mancini et celle de Goodwin. Les deux ont leurs moment forts, certains sont parfois proches.
Au résultat, un album réellement frissonnant.
* Mancini, outre l'indépassable thème de Peter Gunn ou de La Panthère Rose, a composé les musiques de Breakfeast at Tiffany's, Hatari, Charade, Arabesque, etc.
Etc. etc.
Il mandate l'admirable Henry Mancini* pour la musique originale. Lequel se met illico au travail, il s'inspire un peu de Bernard Herrmann et livre sa copie à Sir Hitch.
Lequel, contre toute attente, la refuse ! C'est la seule fois -connue- où Mancini voit l'une de ses créations rejetée.
De fait, c'est au britannique Ron Goodwin que l'on confie le projet. Du bon travail, moins référencé que la partition de Mancini. Il faut se souvenir qu'Hitchcock s'était salement brouillé avec le génial Bernard Herrmann. Et que, par conséquent (tu suis ?), les compositions herrmaniennes de Mancini ont été balayées.
Le disc ci-dessus (Quartet Records, tirage limité) présente les deux scores, celle de Mancini et celle de Goodwin. Les deux ont leurs moment forts, certains sont parfois proches.
Au résultat, un album réellement frissonnant.
* Mancini, outre l'indépassable thème de Peter Gunn ou de La Panthère Rose, a composé les musiques de Breakfeast at Tiffany's, Hatari, Charade, Arabesque, etc.
Etc. etc.
Bonjour
En écoute en ce moment la compil des 50 ans des nocturnes de Georges Lang , avec Valotte de julian
entre autres ,choix surprenant mais beaucoup d émotion à la réécoute de ce morceau .En tous cas du bon Classic rock des années 70 a ce jour .
merci Monsieur Lang passionné de rock et des USA .
En écoute en ce moment la compil des 50 ans des nocturnes de Georges Lang , avec Valotte de julian
entre autres ,choix surprenant mais beaucoup d émotion à la réécoute de ce morceau .En tous cas du bon Classic rock des années 70 a ce jour .
merci Monsieur Lang passionné de rock et des USA .
Le tout dans un joyeux désordre, pas de ligne ni de suivi.
Pourquoi pas ?
D'autant que Georges Lang n'est pas un guignol.
Mais bon.
Rien à voir avec ceci, au fil du rasoir :
A savoir une personnalité (Georges Lang ou Eddie Piller) qui balance l'une ou l'autre compile, Lang n'en est pas à sa première.
Ce n'est pas affaire de goûts, du tout.
Mais d'affinités, de signes et de codes.