Les Swinging Blue Jeans (voir plus haut), comme beaucoup d'autres, ont mis du beat dans le tube popularisé par Betty Everett :
www.youtube.com/watch?v=eZH18hSsmkQ
British Beat
Déjà évoqué in YSN, ce coffret de six discs :
Une bonne nouvelle et une mauvaise :
- La bonne, c'est que cet élégant box set (2018) est toujours disponible, peu onéreux, compter environ 50-55 €.
- La mauvaise est qu'il faut trier. Un peu comme dans les albums d'ELO, des bons trucs et du clairement dispensable. Voire mauvais.
Superbe booklet inséré avec photos et détails.
Une bonne nouvelle et une mauvaise :
- La bonne, c'est que cet élégant box set (2018) est toujours disponible, peu onéreux, compter environ 50-55 €.
- La mauvaise est qu'il faut trier. Un peu comme dans les albums d'ELO, des bons trucs et du clairement dispensable. Voire mauvais.
Superbe booklet inséré avec photos et détails.
Le British Beat, n'est-il pas, il est, britannique (on ne rit pas).
A la base, bien sûr, Chuck Berry, mais aussi/surtout Buddy Holly et les Everly Brothers pour la touche mélodique, les voix.
The Everly Brothers ?
Passé leurs triomphes des vertes années, les -vrais- frangins entendent bien qu'on leur doit beaucoup, de Liverpool à Londres. Du coup, ils publient deux albums 'Beat' en 65-66, 'Beat & Soul' et 'Two Yanks in England' (celui-ci avec l'aide des Hollies).
Le premier des deux est aux 3/4 fantastique, superbes guitares tranchantes (James Burton irradie), et deux noms bien connus in YSN : Billy Preston, Jim Gordon.
En France, Ronnie Bird demeure le plus fier représentant de ce que l'on nommait le style anglais.
A la base, bien sûr, Chuck Berry, mais aussi/surtout Buddy Holly et les Everly Brothers pour la touche mélodique, les voix.
The Everly Brothers ?
Passé leurs triomphes des vertes années, les -vrais- frangins entendent bien qu'on leur doit beaucoup, de Liverpool à Londres. Du coup, ils publient deux albums 'Beat' en 65-66, 'Beat & Soul' et 'Two Yanks in England' (celui-ci avec l'aide des Hollies).
Le premier des deux est aux 3/4 fantastique, superbes guitares tranchantes (James Burton irradie), et deux noms bien connus in YSN : Billy Preston, Jim Gordon.
En France, Ronnie Bird demeure le plus fier représentant de ce que l'on nommait le style anglais.
Hum hum.
Bon, il y ça :
La revue Mersey Beat voit le jour bien avant la signature des fabs par EMI-Parlophone. Tout le mouvement beat ne démarre pas de là, mais c'est un foyer chaud. Les groupes beat se multiplient dans le Nord, on en compte plusieurs centaines, actifs.
Dès 1964 et le passage des Beatles chez Ed Sullivan, on évoque la British Invasion.
Toutefois, la deuxième patrie européenne du British Beat sera surtout celle des ennemis d'hier (moins de 20 ans après la fin des hostilités) : l'Allemagne !
Ach so ?
Oui, ami(e)s, les fridolins (terme d'époque) vont, dès les bouges d'Hambourg et bien après, vouer un culte aux groupes anglais.
Bon, il y ça :
La revue Mersey Beat voit le jour bien avant la signature des fabs par EMI-Parlophone. Tout le mouvement beat ne démarre pas de là, mais c'est un foyer chaud. Les groupes beat se multiplient dans le Nord, on en compte plusieurs centaines, actifs.
Dès 1964 et le passage des Beatles chez Ed Sullivan, on évoque la British Invasion.
Toutefois, la deuxième patrie européenne du British Beat sera surtout celle des ennemis d'hier (moins de 20 ans après la fin des hostilités) : l'Allemagne !
Ach so ?
Oui, ami(e)s, les fridolins (terme d'époque) vont, dès les bouges d'Hambourg et bien après, vouer un culte aux groupes anglais.
Oui, le British Beat a un ambassadeur en France (voir plus haut), Ronnie Bird.
Juste avant lui, les Lionceaux tapaient fort et bien dans le répertoire Lennon/McCartney, l'impérial 'Je ne peux l'acheter' pour témoin fiable.
Ronnie Bird, lui, est coiffé correctement, habillé autrement qu'Eddy Mitchell (fasciné par les USA), c'est un pont entre les impressionnants Bourgeois de Calais et la clique Antoine/Dutronc/Polnareff qui surgit en 66. Un chaînon fort, devenu référence absolue pour qui se penche sur la mouvance beat dans l'hexagone.
Juste avant lui, les Lionceaux tapaient fort et bien dans le répertoire Lennon/McCartney, l'impérial 'Je ne peux l'acheter' pour témoin fiable.
Ronnie Bird, lui, est coiffé correctement, habillé autrement qu'Eddy Mitchell (fasciné par les USA), c'est un pont entre les impressionnants Bourgeois de Calais et la clique Antoine/Dutronc/Polnareff qui surgit en 66. Un chaînon fort, devenu référence absolue pour qui se penche sur la mouvance beat dans l'hexagone.
Et bien, comme la musique des Beatles 63-64, au faîte du british beat, ne suffit pas, voilà un interlude :
[quote quote=117702]IL y a manifestement un gros malentendu (...)
Tout ceux qui fréquentent ce forum depuis assez longtemps savent que je te tiens pour un con érudit, très érudit, oui, et très con, également.[/quote]
Ceci extrait d'un post du jour.
Pourquoi coller telle flatterie* ici ?
Eventuellement pour une réaction. Vu que les Rickenbacker ne suffisent pas, qu'un single des Roulettes passe à l'as.
* Oui, une flatterie de la part d'un être s'imaginant supérieur parce que prêt à avaler les plus effarantes sornettes.
Inutile de clamer qu'un Recher est hors-jeu vu qu'il n'en a pas conscience. Ce serait comme prétendre que les Beatles démarrent en 67, vu qu'avant il n'y avait que 'She Loves You'.
Alors que.
Oui, c'est un peu gros. Mais...
Interlude minable, pour le moins.
[quote quote=117702]IL y a manifestement un gros malentendu (...)
Tout ceux qui fréquentent ce forum depuis assez longtemps savent que je te tiens pour un con érudit, très érudit, oui, et très con, également.[/quote]
Ceci extrait d'un post du jour.
Pourquoi coller telle flatterie* ici ?
Eventuellement pour une réaction. Vu que les Rickenbacker ne suffisent pas, qu'un single des Roulettes passe à l'as.
* Oui, une flatterie de la part d'un être s'imaginant supérieur parce que prêt à avaler les plus effarantes sornettes.
Inutile de clamer qu'un Recher est hors-jeu vu qu'il n'en a pas conscience. Ce serait comme prétendre que les Beatles démarrent en 67, vu qu'avant il n'y avait que 'She Loves You'.
Alors que.
Oui, c'est un peu gros. Mais...
Interlude minable, pour le moins.
Les Nashville Teens, ho ?
Ce sont des Britanniques, oui, ils viennent du Surrey. Sont resté dans les mémoires pop grâce à deux haut faits, en 1964 : sont le backing band de Jerry Lee Lewis au Star Club (fabuleux LP live de la performance) et triomphent avec l'increvable 'Tobacco Road'.
Superbe réédition de l'album '64 (digipack) par Repertoire, 14 bonus !
Ce sont des Britanniques, oui, ils viennent du Surrey. Sont resté dans les mémoires pop grâce à deux haut faits, en 1964 : sont le backing band de Jerry Lee Lewis au Star Club (fabuleux LP live de la performance) et triomphent avec l'increvable 'Tobacco Road'.
Superbe réédition de l'album '64 (digipack) par Repertoire, 14 bonus !
Tous les groupes de beat étaient orientés vers les jeunes, le fameux marché des teenagers, l'argent de poche devenu obligatoire.
Succès monstre pour les Herman's Hermits, ils alignent les N°1 partout, y compris aux USA. Le producteur de leur période dorée n'est autre que Mickie Most.
Il existe des best of en ribambelles, la plus recommandable est (éventuellement) celle-ci :
D'abord, oui, tout est en mono, le vrai son des groupes anglais avant 1966-67. Ensuite, même si certaines pièces peuvent être -doucement- considérées telles gentillettes, le charme de l'ensemble agit, enchanteur. Une autre époque, oui, mais pas un autre temps.
Succès monstre pour les Herman's Hermits, ils alignent les N°1 partout, y compris aux USA. Le producteur de leur période dorée n'est autre que Mickie Most.
Il existe des best of en ribambelles, la plus recommandable est (éventuellement) celle-ci :
D'abord, oui, tout est en mono, le vrai son des groupes anglais avant 1966-67. Ensuite, même si certaines pièces peuvent être -doucement- considérées telles gentillettes, le charme de l'ensemble agit, enchanteur. Une autre époque, oui, mais pas un autre temps.
-
- Messages : 304
- Enregistré le : sam. 4 févr. 2017 08:37
Bonjour 4JB!,
De toute façon, à l'instar d'un Phil Spector, Mickie Most est un partisan du mono. Pour ma part, j'adore la compilation parue chez Bear Family, The Best of Herman's Hermits, the 50th. anniversary Anthology.2 CD de plus de 80 minutes (Rare comme durée).
Merci beaucoup et à bientôt!.
Alain Lacasse.
De toute façon, à l'instar d'un Phil Spector, Mickie Most est un partisan du mono. Pour ma part, j'adore la compilation parue chez Bear Family, The Best of Herman's Hermits, the 50th. anniversary Anthology.2 CD de plus de 80 minutes (Rare comme durée).
Merci beaucoup et à bientôt!.
Alain Lacasse.
[quote quote=117738]Bonjour 4JB!,
j’adore la compilation The Best of Herman’s Hermits, the 50th. anniversary Anthology.2 CD de plus de 80 minutes (Rare comme durée).
[/quote]
Superbe sélection, pas mal de bulles diabolo dès les 2/3 du disc 2.
Toutefois, c'est écrit courageusement sur la pochette : "In true Stereo". Ah bah, il y a des mixes réussis (The London Look, jolie panoramique), et puis, personne n'est tenu à considérer les originaux mono tels une obligation. En général, les disques de beat (et de rock'n'roll '50s) sonnent mieux en mono parce qu'on passait du temps à les fignoler. Pourquoi ? Parce que les radios diffusaient en mono, que les tourne-disques des acheteurs étaient en mono.
j’adore la compilation The Best of Herman’s Hermits, the 50th. anniversary Anthology.2 CD de plus de 80 minutes (Rare comme durée).
[/quote]
Superbe sélection, pas mal de bulles diabolo dès les 2/3 du disc 2.
Toutefois, c'est écrit courageusement sur la pochette : "In true Stereo". Ah bah, il y a des mixes réussis (The London Look, jolie panoramique), et puis, personne n'est tenu à considérer les originaux mono tels une obligation. En général, les disques de beat (et de rock'n'roll '50s) sonnent mieux en mono parce qu'on passait du temps à les fignoler. Pourquoi ? Parce que les radios diffusaient en mono, que les tourne-disques des acheteurs étaient en mono.
Sinon, bien sûr, il y a cet indispensable :
Deux Lennon/McCartney sur un EP français réédité par Magic, l'aurore du British Beat, George Martin était là.
Oui, il y a danger à toujours revenir à Lennon/McCartney, aux Beatles. Tourner en rond, apprécier Macca en démolisseur involontaire du vieux répertoire.
Oooh, le beat anglais n'est pas exempt de furoncles, voyez Dave Dee, Dozy, Beaky, Mick and Tich, ils firent fureur, surtout en Allemagne. Leurs tubes incarnent la laideur, mais il y a ça :
https://www.youtube.com/watch?v=QQRO10NmbrQ
Oui, tout y est, le beat manière '67, en plein dedans.
Deux Lennon/McCartney sur un EP français réédité par Magic, l'aurore du British Beat, George Martin était là.
Oui, il y a danger à toujours revenir à Lennon/McCartney, aux Beatles. Tourner en rond, apprécier Macca en démolisseur involontaire du vieux répertoire.
Oooh, le beat anglais n'est pas exempt de furoncles, voyez Dave Dee, Dozy, Beaky, Mick and Tich, ils firent fureur, surtout en Allemagne. Leurs tubes incarnent la laideur, mais il y a ça :
https://www.youtube.com/watch?v=QQRO10NmbrQ
Oui, tout y est, le beat manière '67, en plein dedans.
Sinon, bien sûr, il y a cet indispensable :
Deux Lennon/McCartney sur un EP français réédité par Magic, l'aurore du British Beat, frétillant comme au premier jour. George Martin était là.
Oui, il y a danger à toujours revenir à Lennon/McCartney, aux Beatles. Tourner en rond, apprécier Macca en démolisseur involontaire du vieux répertoire.
Oooh, le beat anglais n'est pas exempt de furoncles, voyez Dave Dee, Dozy, Beaky, Mick and Tich, ils firent fureur, surtout en Allemagne. Leurs tubes incarnent la laideur, mais il y a ça :
http://www.youtube.com/watch?v=QQRO10NmbrQ
Oui, tout y est, le beat manière '67, en plein dedans. Carnaby Street.
Deux Lennon/McCartney sur un EP français réédité par Magic, l'aurore du British Beat, frétillant comme au premier jour. George Martin était là.
Oui, il y a danger à toujours revenir à Lennon/McCartney, aux Beatles. Tourner en rond, apprécier Macca en démolisseur involontaire du vieux répertoire.
Oooh, le beat anglais n'est pas exempt de furoncles, voyez Dave Dee, Dozy, Beaky, Mick and Tich, ils firent fureur, surtout en Allemagne. Leurs tubes incarnent la laideur, mais il y a ça :
http://www.youtube.com/watch?v=QQRO10NmbrQ
Oui, tout y est, le beat manière '67, en plein dedans. Carnaby Street.
Sinon, bien sûr, il y a cet indispensable :
Deux Lennon/McCartney sur un EP français réédité par Magic, l'aurore du British Beat, frétillant comme au premier jour. George Martin était là.
Oui, il y a danger à toujours revenir à Lennon/McCartney, aux Beatles. Tourner en rond, apprécier Macca en démolisseur involontaire du vieux répertoire.
Deux Lennon/McCartney sur un EP français réédité par Magic, l'aurore du British Beat, frétillant comme au premier jour. George Martin était là.
Oui, il y a danger à toujours revenir à Lennon/McCartney, aux Beatles. Tourner en rond, apprécier Macca en démolisseur involontaire du vieux répertoire.
MAIS.
-----
Le beat anglais n'est pas exempt de furoncles, voyez Dave Dee, Dozy, Beaky, Mick and Tich, ils firent fureur, surtout en Allemagne. Leurs tubes incarnent la laideur, mais il y a ça :
http://www.youtube.com/watch?v=QQRO10NmbrQ
Oui, tout y est, le beat manière '67, en plein dedans. Carnaby Street.
-----
Le beat anglais n'est pas exempt de furoncles, voyez Dave Dee, Dozy, Beaky, Mick and Tich, ils firent fureur, surtout en Allemagne. Leurs tubes incarnent la laideur, mais il y a ça :
http://www.youtube.com/watch?v=QQRO10NmbrQ
Oui, tout y est, le beat manière '67, en plein dedans. Carnaby Street.
-
- Messages : 304
- Enregistré le : sam. 4 févr. 2017 08:37
Bonjour 4JB!,
En ce qui concerne la compilation des Herman's Hermits, il s'agit de récents mixes stéréo réalisés à Abbey Road. Dans les années 60, il n'y qu'une couple de chansons qui ont eu un mixage stéréo. Ce fut notamment le cas de Don't go out into the rain. Mickie Most ne voulait rien savoir du stéréo. Même There's a kind of hush n'a pas eu de version stéréo en 1967. Il était borné le bonhomme. Imaginez, c'est lui qui a produit Knock knokc who's there de Mary Hopkins en 1970 et, encore une fois, seulement en mono. Pourtant on était rendu en 70. Même les Beatles et les Rolling Stones publiaient leurs 45 tours en stéréo à ce moment-là.
Merci beaucoup et à bientôt!
Alain Lacasse.
En ce qui concerne la compilation des Herman's Hermits, il s'agit de récents mixes stéréo réalisés à Abbey Road. Dans les années 60, il n'y qu'une couple de chansons qui ont eu un mixage stéréo. Ce fut notamment le cas de Don't go out into the rain. Mickie Most ne voulait rien savoir du stéréo. Même There's a kind of hush n'a pas eu de version stéréo en 1967. Il était borné le bonhomme. Imaginez, c'est lui qui a produit Knock knokc who's there de Mary Hopkins en 1970 et, encore une fois, seulement en mono. Pourtant on était rendu en 70. Même les Beatles et les Rolling Stones publiaient leurs 45 tours en stéréo à ce moment-là.
Merci beaucoup et à bientôt!
Alain Lacasse.
-
- Messages : 304
- Enregistré le : sam. 4 févr. 2017 08:37
Bonjour 4JB!,
Je n'ai pas cet album. Peut-être que certains titres étaient en stéréo et les autres en mono. Ca arrivait assez fréquemment. A titre d'exemple, je citerais Mother's little helper des Rolling Stones qui n'est sorti qu'en mono aux USA-Canada. Que ce soit en 45t, sur l'album Flowers ou la compilation Big hits vol.2 (Through the past, darkly).
Autre exemple documenté, l'album US Magical Mystery Tour des Beatles. La 1ère édition stéréo en 1967 était en "fake stéréo". Pourquoi? Le grand boss de Capitol était à Londres à la mi ou fin novembre chez EMI. Il est retourné aux USA avec une copie du master mono de l'album seulement car EMI allait faire le mixage stéréo la semaine suivante.
Afin de ne pas rater les ventes de Noel, Capitol a sorti Magical Mystery Tour en mono et en "fake stéréo". Mais la pochette indiquait stéréo. C'est plus tard, quelques mois peut-être, que Capitol a pu produire un véritable album stéréo de Magical mais avec les "faux stéréo" de Penny Lane, Baby You're a Rich Man et All You Need Is Love. Ces 3 dernières chansons n'ayant pas eu, à l'époque, de mixage stéréo.
La première véritable et complète version stéréo de l'album Magical Mystery Tour sera celle publiée en 1971-1972 en Allemagne de l'ouest, comme on disait à l'époque du Mur.
Merci beaucoup et à bientôt!
Alain Lacasse.
Merci beaucoup et à bientôt!
Alain Lacasse.
Je n'ai pas cet album. Peut-être que certains titres étaient en stéréo et les autres en mono. Ca arrivait assez fréquemment. A titre d'exemple, je citerais Mother's little helper des Rolling Stones qui n'est sorti qu'en mono aux USA-Canada. Que ce soit en 45t, sur l'album Flowers ou la compilation Big hits vol.2 (Through the past, darkly).
Autre exemple documenté, l'album US Magical Mystery Tour des Beatles. La 1ère édition stéréo en 1967 était en "fake stéréo". Pourquoi? Le grand boss de Capitol était à Londres à la mi ou fin novembre chez EMI. Il est retourné aux USA avec une copie du master mono de l'album seulement car EMI allait faire le mixage stéréo la semaine suivante.
Afin de ne pas rater les ventes de Noel, Capitol a sorti Magical Mystery Tour en mono et en "fake stéréo". Mais la pochette indiquait stéréo. C'est plus tard, quelques mois peut-être, que Capitol a pu produire un véritable album stéréo de Magical mais avec les "faux stéréo" de Penny Lane, Baby You're a Rich Man et All You Need Is Love. Ces 3 dernières chansons n'ayant pas eu, à l'époque, de mixage stéréo.
La première véritable et complète version stéréo de l'album Magical Mystery Tour sera celle publiée en 1971-1972 en Allemagne de l'ouest, comme on disait à l'époque du Mur.
Merci beaucoup et à bientôt!
Alain Lacasse.
Merci beaucoup et à bientôt!
Alain Lacasse.
Fils de familles britanniques, écossaises (George Young, frère aîné d'Angus) ou hollandaises ayant émigré en Australie, les Easybeats, comme leur nom l'indique, font du beat leur socle initial : on l'entend clairement sur leurs premiers disques de 1965.
EP, 1965
Leur énorme tube (Friday on My Mind, 1966) leur a ouvert la porte à l'éternité pop.
EP, 1965
Leur énorme tube (Friday on My Mind, 1966) leur a ouvert la porte à l'éternité pop.