1) Si ça ne te dit rien, bonjour chez toi.
2) Herrmann-Hitchcock n'est qu'une part.
3) Cape Fear ? Truffaut ?
Drôle de sujet, hors 'goûts et couleurs'.
Bernard Herrmann ?
Bernard Herrmann
Sinon, bien sûr, écoute et compare :
https://www.youtube.com/watch?v=fZA6jtxtTfQ
https://www.youtube.com/watch?v=w5Sqv_45A5c
Mais ce n'est qu'un minuscule point, les créations d'Herrmann s'apparentent à un univers.
https://www.youtube.com/watch?v=fZA6jtxtTfQ
https://www.youtube.com/watch?v=w5Sqv_45A5c
Mais ce n'est qu'un minuscule point, les créations d'Herrmann s'apparentent à un univers.
Si les similitudes ne pointent pas dans tes écoutes, tente cette version-là :
https://www.youtube.com/watch?v=Tn_sTv25IAQ
Danny Elfman est, tout comme votre misérable laquais, un dingo de Bernard Herrmann. A la base, Danny connait un léger succès pop au sein de son groupe new wave, Oingo Boingo.
Puis, il y eut la connexion >>>Tim Burton.
https://www.youtube.com/watch?v=Tn_sTv25IAQ
Danny Elfman est, tout comme votre misérable laquais, un dingo de Bernard Herrmann. A la base, Danny connait un léger succès pop au sein de son groupe new wave, Oingo Boingo.
Puis, il y eut la connexion >>>Tim Burton.
Bon.
Herrmann lui-même a été sous influence (Stokowski, par exemple), sa façon n'est pas née de rien du tout.
Dès le milieu des années 50, il utilise les violoncelles comme d'une arme, il les découpe au cutter.
Et c'est exactement ce qu'on entend dans les arrangements de ' I Am The Walrus'. Non, non, George Martin ne tente pas là de faire du Herrmann, du tout.
Il utilise, il emploie, c'est tout à son honneur, une manière dont Herrmann ne fut pas le créateur, mais le relais. Entre l'intro du Sacre du Printemps et ses tranchants aiguisés à l'extrême, il y a l'évidente parenté.
Que, de manière consciente ou non, George Martin emploie, transforme.
Herrmann lui-même a été sous influence (Stokowski, par exemple), sa façon n'est pas née de rien du tout.
Dès le milieu des années 50, il utilise les violoncelles comme d'une arme, il les découpe au cutter.
Et c'est exactement ce qu'on entend dans les arrangements de ' I Am The Walrus'. Non, non, George Martin ne tente pas là de faire du Herrmann, du tout.
Il utilise, il emploie, c'est tout à son honneur, une manière dont Herrmann ne fut pas le créateur, mais le relais. Entre l'intro du Sacre du Printemps et ses tranchants aiguisés à l'extrême, il y a l'évidente parenté.
Que, de manière consciente ou non, George Martin emploie, transforme.
Je préférerais celle de Galipeau, les enfants du Viager ne répondent pas.
Hein ?
Gérard Calvi non plus, nous a quitté en février 2015.
C'est bien triste.
Je n'ai pas beaucoup de temps, mais voilà bien un sujet - un homme, une musique, une carrière - étonnant.e.s!
Grand amateur de l'oeuvre de Hitchcock, je ne peux qu'applaudir la part de Herrmann dans celle-ci! Il n'y a pas participé autant qu'on le croit, mais ce qu'il a apporté à l'apogée de Hitchcock en est certainement une des composantes essentielles. Enlevez la partition de Herrmann à certains films, il perdent d'un coup beaucoup de leur force. Son nom était souvent l'avant dernier dans les génériques de début, pas sans raison.
Brian De Palma, obsédé par Hitchock dans ses premiers films - jusqu'à la copie - avait été jusqu'à obtenir la participation d'Herrmann.
Un style entre tous reconnaissable, unique, d'une force et d'une densité rares.
Grand amateur de l'oeuvre de Hitchcock, je ne peux qu'applaudir la part de Herrmann dans celle-ci! Il n'y a pas participé autant qu'on le croit, mais ce qu'il a apporté à l'apogée de Hitchcock en est certainement une des composantes essentielles. Enlevez la partition de Herrmann à certains films, il perdent d'un coup beaucoup de leur force. Son nom était souvent l'avant dernier dans les génériques de début, pas sans raison.
Brian De Palma, obsédé par Hitchock dans ses premiers films - jusqu'à la copie - avait été jusqu'à obtenir la participation d'Herrmann.
Un style entre tous reconnaissable, unique, d'une force et d'une densité rares.
Merci à Thierry pour sa participation éclairée.
...............
Sous la direction de William Stromberg, le Moscow Symphony Orchestra a enregistré les scores de 'The Snows of Kilimanjaro' (1952)' et de '5 Fingers'. Remarquable, tentez l'écoute (Marco Polo – 8.225168), 2001.
.
Malgré le visuel pour le moins raté.
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Sous la direction de William Stromberg, le Moscow Symphony Orchestra a enregistré les scores de 'The Snows of Kilimanjaro' (1952)' et de '5 Fingers'. Remarquable, tentez l'écoute (Marco Polo – 8.225168), 2001.
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Malgré le visuel pour le moins raté.