Hum.
Il s'agit. de part et d'autre, de supports physiques.
De ce que tu peux tenir dans tes mains, qui prend de la place dans ton saloon -plus ou moins- exclusif.
- Le vinyle ne pèse pas grand-chose face au dématérialisé, les chiffres sont là. Mais, depuis environ 10 ans, il bénéficie d'un regain d'intérêt :
1) Ce serait "le vrai son", jazz, pop rock, etc.
2) Atout majeur : la taille d'un 33 tours, de sa pochette. Le 45 tours, pourtant largement plus performant question rendu sonore, est quasi-oublié.
3) On fait comme si la matière, le vinyle donc, était une matière noble ! C'est évidemment grotesque. Du pétrole pour l'essentiel.
- Le Compact Disc a été dévalué sitôt qu'on a pu en créer des copies presque conformes, en CD-R, ou en téléchargeant des fichiers.
1) Le CD, si on est à peu près soigneux, ne se dégrade pas. Contrairement au vinyle, chaque lecture cause une usure physique, normal.
2) Presque tout aujourd'hui est enregistré en numérique. Ou transféré, après capture sur bandes multi (elles coûtent un bras, les réutiliser après effacement les dégradent) sur un support non-analogique. Même si on mixe en analogique, que le master est du 2 pistes analogique sur bande, on en fait des copies... en numérique.
3) Le SHM-CD va plus loin que le Compact Disc traditionnel, plus précis, simplement à cause du matériau utilisé. Encore une fois, il s'agit de physique.