Un dernier petit BYRDS pour terminer le WE.
SWEETHEART FROM RODEO
album court comme d habitude. 1/2 h
Il devient quasi double avec la Réédition legacy des 90s ressucitant les prises vocales de Gram PARSONS
Du coup l album est moins digeste...voir longuet
les bonus de reputation surfaite "decouvrez le verirable album ..."
Avec un lazy days plus chuck BERRY que country...
Ouverture excellente avec you re goin nowhere des basement tapes dylan.
(+ Nothing was delivered )
The Byrds (American Beatles)
Circle63 ne sort pas d'un cercle restreint, comme si les personnes dépassaient la musique engendrée.
En réalité, analogie avec les Beatles, une multitude de ponts ont été créés.
...
Essayer de retrouver l'esprit des Byrds par le biais de vagues réunions des protagonistes post '70s, ouille.
Grosso modo.
- Le premier LP solo de McGuinn passe l'audition, et quelques autres aussi.
- David Crosby est un cas à part, les Byrds ne sont qu'une parenthèse dans son tracé, même si de prime importance dans les '60s.
....
Back to le début, les -pseudo- American Beatles étaient légion aux USA, il y en a plein.
En voici un dans la veine "arrangements vocaux top", chansons fouillées, harmonies superlatives :
https://www.youtube.com/watch?v=0JkvajIYuoU
En réalité, analogie avec les Beatles, une multitude de ponts ont été créés.
...
Essayer de retrouver l'esprit des Byrds par le biais de vagues réunions des protagonistes post '70s, ouille.
Grosso modo.
- Le premier LP solo de McGuinn passe l'audition, et quelques autres aussi.
- David Crosby est un cas à part, les Byrds ne sont qu'une parenthèse dans son tracé, même si de prime importance dans les '60s.
....
Back to le début, les -pseudo- American Beatles étaient légion aux USA, il y en a plein.
En voici un dans la veine "arrangements vocaux top", chansons fouillées, harmonies superlatives :
https://www.youtube.com/watch?v=0JkvajIYuoU
Oui mais, c'est pas le tout ça.
Les Byrds sont-ils valides en 2022 ?
Oui.
Andy Bell, ex-plein de monde (dont Oasis) dépose sa pierre, son caillou.
https://www.youtube.com/watch?v=w1TCQRXD6lw
Pas assez ?
Bien sûr que non, les filles de 18 ans pourraient tolérer ça, les poilus aussi. Sur un bord de mer, avant d'aller s'extasier en boîte, 142 bpm, et 2-3 fabrications latino dans le smartphone en mode survie. Si le DJ n'était pas à leur goût exact.
Ho ?
Les Byrds étaient un groupe pop en 1965-66, leur auditoire était, exactement, celui de leur descendance. Un style, une mode, on suit le courant, personne ne cherche la moindre correspondance avec le tube de Barry Ryan, 'Eloise' est dans l'air. C'est tout.
Si les Byrds sont toujours là, ce n'est certainement pas grâce aux fuckin' albums, on ne parlait pas comme ça en 1964-65.
Est-ce si difficile à comprendre ?
En réalité, il semble que oui.
La vivacité originale a été remplacée par "les abums" dans l'appréciation d'un groupe tel que les Byrds. Ce n'est certes pas du révisionnisme, mais une mise à plat. A plat, oui.
Les 45 tours (EPs en France) sont la clé, même Dylan a adoré 'Mr Tambourine Man', "On peut danser là-dessus".
Vous voyez ?
Enfin, c'est monstre simple pour peu que n'on ne soit pas amputé des deux polaires.
Les Byrds sont-ils valides en 2022 ?
Oui.
Andy Bell, ex-plein de monde (dont Oasis) dépose sa pierre, son caillou.
https://www.youtube.com/watch?v=w1TCQRXD6lw
Pas assez ?
Bien sûr que non, les filles de 18 ans pourraient tolérer ça, les poilus aussi. Sur un bord de mer, avant d'aller s'extasier en boîte, 142 bpm, et 2-3 fabrications latino dans le smartphone en mode survie. Si le DJ n'était pas à leur goût exact.
Ho ?
Les Byrds étaient un groupe pop en 1965-66, leur auditoire était, exactement, celui de leur descendance. Un style, une mode, on suit le courant, personne ne cherche la moindre correspondance avec le tube de Barry Ryan, 'Eloise' est dans l'air. C'est tout.
Si les Byrds sont toujours là, ce n'est certainement pas grâce aux fuckin' albums, on ne parlait pas comme ça en 1964-65.
Est-ce si difficile à comprendre ?
En réalité, il semble que oui.
La vivacité originale a été remplacée par "les abums" dans l'appréciation d'un groupe tel que les Byrds. Ce n'est certes pas du révisionnisme, mais une mise à plat. A plat, oui.
Les 45 tours (EPs en France) sont la clé, même Dylan a adoré 'Mr Tambourine Man', "On peut danser là-dessus".
Vous voyez ?
Enfin, c'est monstre simple pour peu que n'on ne soit pas amputé des deux polaires.
OUI. JUSTE RAPPEL.
a la difference des BEATLES, les BYRDS n ont pas reussi a enchainer les singles.
mr tambourine turn turn turn au sommet.
eight miles high ne vole pas si haut dans les charts.
ce n est faute d avoir essayé. Quand ca ne veut pas ça ne veut pas... so you want to be a rocknrollstar...etc...ça n a plus accroché.
le grand public terminado ! Les midinettes c fini !
mickael clarke a quitte le groupe apres le pourtant excellent younger than yesterday...
quand le marche du 33t est arrivé fin 60s, la concurrence etait redoutable dans ces années benies et leurs albums un peu en dessous
Les Byrds n'ont été N°1 qu'avec Mr. Tambourine Man (le single), aux USA et ailleurs. Et, Etats-Unis seulement, via 'Turn! Turn! Turn!', une reprise aussi, de Pete Seeger cette fois.
Quelques autres Top 20 ou Top 30, Eight Miles High, So You Want to Be a Rock 'n' Roll Star, My Back Pages. Passé 1967, seul le 45T 'Ballad of Easy Rider' aura encore un petit impact, les singles '70s n'entrent même pas dans le Top 100.
*************************************************************
Curieusement, alors que le gospel est redevenu tendance en 1969 (Oh Happy Day, 1968 ou 1969 selon les pays), le triomphe imminent de 'Jesus Christ Superstar', Johnny Hallyday se faisant interdire d'antenne pour 'Jesus Christ (est un hippie)', le 'Jesus Is Just Alright' des Byrds (1969) ne fait pas un gros score. Alors que la chanson des Art Reynolds Singers, un gospel originellement de 1966, offre aux Byrds une base -ahem- bénie : McGuinn est tombé dans le christianisme et, mille bombes, Clarence White dégaine des licks d'anthologie à la guitare :
https://www.youtube.com/watch?v=wdKrHYUZCwM
L'intro tient du fabuleux : on y entend la Rickenbacker (12 cordes) de McGuinn en totale osmose avec la rythmique et la 6 cordes de Clarence, juste avant que ce dernier ne mette le feu aux poudres, riff royal, sensuel. Sexy, oui.
*************************************************************
Imagine.
Un gars de l'école Tarantino dépose un nouveau film monstre culotté, une histoire glauque avec des sectes et des truands, les Byrds de 'Jesus Is Just Alright' y seront bien sûr mieux que bienvenus : les témoins en première ligne, musique sacrée, pop, diabolique ! Ho ?
Oui, les Byrds d'avant 1970 sont systématiquement à double tranchant, ils voguaient à vue, entre drogues, éclairs électriques et innocence feinte. De façade un coup, réelle le coup d'après.
Non, ce n'est pas du délire, ce combat s'entend dans les chansons.
Pour peu qu'on les écoute.
Quelques autres Top 20 ou Top 30, Eight Miles High, So You Want to Be a Rock 'n' Roll Star, My Back Pages. Passé 1967, seul le 45T 'Ballad of Easy Rider' aura encore un petit impact, les singles '70s n'entrent même pas dans le Top 100.
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Curieusement, alors que le gospel est redevenu tendance en 1969 (Oh Happy Day, 1968 ou 1969 selon les pays), le triomphe imminent de 'Jesus Christ Superstar', Johnny Hallyday se faisant interdire d'antenne pour 'Jesus Christ (est un hippie)', le 'Jesus Is Just Alright' des Byrds (1969) ne fait pas un gros score. Alors que la chanson des Art Reynolds Singers, un gospel originellement de 1966, offre aux Byrds une base -ahem- bénie : McGuinn est tombé dans le christianisme et, mille bombes, Clarence White dégaine des licks d'anthologie à la guitare :
https://www.youtube.com/watch?v=wdKrHYUZCwM
L'intro tient du fabuleux : on y entend la Rickenbacker (12 cordes) de McGuinn en totale osmose avec la rythmique et la 6 cordes de Clarence, juste avant que ce dernier ne mette le feu aux poudres, riff royal, sensuel. Sexy, oui.
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Imagine.
Un gars de l'école Tarantino dépose un nouveau film monstre culotté, une histoire glauque avec des sectes et des truands, les Byrds de 'Jesus Is Just Alright' y seront bien sûr mieux que bienvenus : les témoins en première ligne, musique sacrée, pop, diabolique ! Ho ?
Oui, les Byrds d'avant 1970 sont systématiquement à double tranchant, ils voguaient à vue, entre drogues, éclairs électriques et innocence feinte. De façade un coup, réelle le coup d'après.
Non, ce n'est pas du délire, ce combat s'entend dans les chansons.
Pour peu qu'on les écoute.
Un peu plus haut, l'influence vive des Byrds (Andy Bell).
....
Qui apprécie leur musique, leur manière, pourra apprécier les disques (pas tous) des Jayhawks, les premier Long Ryders... Tom Petty bien sûr, mais ça on sait.
Qui d'autre ?
Le premier LP des Primal Scream, la scène '80s dite Paisley, les bébés country rock (il y en a plein, ça ne dépasse pas les frontières US), Uncle Tupelo, etc. etc.
Amour éternel quant aux Teenage Fanclub, écossais, un peu papys aujourd'hui, mais écoutez à quel point ils sont en amour il n'y a pas si vieux :
https://www.youtube.com/watch?v=JZsZx7uoTro
Non seulement les Byrds y sont honorés, ils sont "recréés" via un son plus crunchy, et, surtout, des feintes rythmiques "mine de rien". La classe ? Oui.
Hélas, bien que les Teenage Fanclub restent un groupe au-delà de l'exemplaire, toujours cités à gauche à droite, ça n'a pas suffi au "grand public", lequel est passé à autre chose.
Coldplay versant pop, Testament versant Metal. Oui, c'est simpliste, la vie est simple à défaut d'être simpliste.
Vois ce qui t'entoure, c'est la réalité.
Les Byrds survivront. La preuve ? Il survivent.
....
Qui apprécie leur musique, leur manière, pourra apprécier les disques (pas tous) des Jayhawks, les premier Long Ryders... Tom Petty bien sûr, mais ça on sait.
Qui d'autre ?
Le premier LP des Primal Scream, la scène '80s dite Paisley, les bébés country rock (il y en a plein, ça ne dépasse pas les frontières US), Uncle Tupelo, etc. etc.
Amour éternel quant aux Teenage Fanclub, écossais, un peu papys aujourd'hui, mais écoutez à quel point ils sont en amour il n'y a pas si vieux :
https://www.youtube.com/watch?v=JZsZx7uoTro
Non seulement les Byrds y sont honorés, ils sont "recréés" via un son plus crunchy, et, surtout, des feintes rythmiques "mine de rien". La classe ? Oui.
Hélas, bien que les Teenage Fanclub restent un groupe au-delà de l'exemplaire, toujours cités à gauche à droite, ça n'a pas suffi au "grand public", lequel est passé à autre chose.
Coldplay versant pop, Testament versant Metal. Oui, c'est simpliste, la vie est simple à défaut d'être simpliste.
Vois ce qui t'entoure, c'est la réalité.
Les Byrds survivront. La preuve ? Il survivent.
A part ça ?
Jeter une oreille distraite là :
https://www.youtube.com/watch?v=8bi62a4LEb4
Nous sommes en 1968-69, les Byrds recomposés tapent dans le mille, laidback en mode hippie, pas précurseurs, non, mais initiateurs, un template.
Ecoute, vois ce que ce ça va engendrer.
Jeter une oreille distraite là :
https://www.youtube.com/watch?v=8bi62a4LEb4
Nous sommes en 1968-69, les Byrds recomposés tapent dans le mille, laidback en mode hippie, pas précurseurs, non, mais initiateurs, un template.
Ecoute, vois ce que ce ça va engendrer.
Après réécoute (pas toujours attentive) ces derniers jours, je me sens plus à même de donner mon avis.
Mr TAMBOURINE MAN : ce 1er LP est tout simplement magnifique. Le nombre de belles chansons au m² est impressionnant. Des moments de pure magie où l'auditeur peut se laisser bercer par les harmonies envoûtantes des Byrds.
TURN ! TURN ! TURN ! : de la même veine que le précédent, mais un léger cran en-dessous au niveau de l'inspiration mélodique. Ca reste quand même un très bon album/
Avec les bonus qui, effectivement, sont à la hauteur du reste, les BYRDS sont incontestablement un groupe majeur de l'année 1965. Un MUST !
PS : moi, c'est sur le bonus "The day walk" que j'entends le riff de Satisfaction.
FIFTH DIMENSION : ils se lancent dans la musique psychédélique. A noter que cet album sort avant REVOLVER.
Autre événement marquant et même très marquant à mes yeux : Gene CLARK a quitté le groupe. Il n'est présent que sur "Eight Miles High". Si j'étais né à l'époque et en âge d'écouter de la musique, j'aurais été fan des Byrds et j'aurais pleuré toutes les larmes de mon corps à l'annonce du départ de Clark. C'est comme si soit Lennon soit McCartney avait quitté les Beatles au moment de A Hard day's night : la catastrophe totale ! Ces OYSEAUX viennent de perdre une aile. Vont-ils continuer à s'élever aussi haut ?
Du coup, David Crosby sort de sa coquille et se met un peu plus au songwriting. Et ça donne : "What's happening ?!?!". A son écoute, je me dis que l'espoir est permis. L'aile manquante va peut-être repousser ?
https://www.youtube.com/watch?v=mcvPx_JrX0M
Autre événement marquant et même très marquant à mes yeux : Gene CLARK a quitté le groupe. Il n'est présent que sur "Eight Miles High". Si j'étais né à l'époque et en âge d'écouter de la musique, j'aurais été fan des Byrds et j'aurais pleuré toutes les larmes de mon corps à l'annonce du départ de Clark. C'est comme si soit Lennon soit McCartney avait quitté les Beatles au moment de A Hard day's night : la catastrophe totale ! Ces OYSEAUX viennent de perdre une aile. Vont-ils continuer à s'élever aussi haut ?
Du coup, David Crosby sort de sa coquille et se met un peu plus au songwriting. Et ça donne : "What's happening ?!?!". A son écoute, je me dis que l'espoir est permis. L'aile manquante va peut-être repousser ?
https://www.youtube.com/watch?v=mcvPx_JrX0M
YOUNGER THAN YESTERDAY : les Byrds se réinventent. Encore un excellent album.
Une multitude d'ambiances différentes : folk-rock, pop, country, etc. Ceci est probablement dû au fait que Crosby et Hillman sont devenus des auteurs-compositeurs à part entière et apportent leurs touches personnelles.
A titre perso, je n'aime qu'un petit nombre des compositions de Crosby, CSNY et période solo ou duo avec Nash compris. Mais là, avec "Everybody's been burned", WAOW ! C'est son Eleanor Rigby, sa Lady Jane, son Bal des Laze, un OVNI dans le monde pourtant riche de la pop 67'.
https://www.youtube.com/watch?v=I7Uh8933Jvs
Une multitude d'ambiances différentes : folk-rock, pop, country, etc. Ceci est probablement dû au fait que Crosby et Hillman sont devenus des auteurs-compositeurs à part entière et apportent leurs touches personnelles.
A titre perso, je n'aime qu'un petit nombre des compositions de Crosby, CSNY et période solo ou duo avec Nash compris. Mais là, avec "Everybody's been burned", WAOW ! C'est son Eleanor Rigby, sa Lady Jane, son Bal des Laze, un OVNI dans le monde pourtant riche de la pop 67'.
https://www.youtube.com/watch?v=I7Uh8933Jvs
Thoughts and WordsOctopus a écrit : ↑mer. 1 juin 2022 12:43 YOUNGER THAN YESTERDAY : les Byrds se réinventent. Encore un excellent album.
Une multitude d'ambiances différentes : folk-rock, pop, country, etc. Ceci est probablement dû au fait que Crosby et Hillman sont devenus des auteurs-compositeurs à part entière et apportent leurs touches personnelles.
https://www.youtube.com/watch?v=I7Uh8933Jvs
compo de c HILLMAN
la chanson le plus BEATLES des BYRDS
A ce sujet, je m'écarte un peu du topic, temporairement seulement, mais je me fais la réflexion suivante :
Les BEATLES ont influencé les BYRDS : voir chanson citée ci-dessus et d'autres. Plus le fait que les jeunes McGuinn, Clark et Crosby ont débuté en faisant des reprises acoustiques des chansons des Fab Four.
BYRDS BEATLES aussi : "If I needed someone", "She said she said", les lunettes rectangulaires de George...
BOB DYLAN BYRDS : il suffit de voir le nombre de reprises de chansons du grand Bob dans le répertoire des Byrds
BOB DYLAN BEATLES : "You've got to hide your love away", "Norwegian wood", paroles avec des mots de plus de 2 syllabes ...
Mais quelqu'un a-t-il influencé musicalement BOB DYLAN ? Woody Guthrie bien sûr, pour sa période 100% acoustique. Mais après ?
Y a-t-il des Subiens qui connaissent assez bien la discographie dylanienne pour m'éclairer sur ce point ?
Par exemple, sait-on si l'électrification de sa guitare lui a été inspirée par sa rencontre avec les Beatles ? ou plus généralement par le succès des British Invaders ?
Y a-t-il des albums, des morceaux de BOB qui vous font penser à une influence directe de tel groupe, ou chanteur(se) ?
J'ai créé un topic spécifique pour répondre à cette question sans "polluer" le sujet BYRDS (American Beatles), au cas où il y aurait de nombreuses réponses (j'espère !).
viewtopic.php?f=11&t=1191
viewtopic.php?f=11&t=1191
DR BYRDS AND MR HYDE 68JB+ a écrit : ↑mar. 31 mai 2022 15:23 A part ça ?
Jeter une oreille distraite là :
https://www.youtube.com/watch?v=8bi62a4LEb4
Nous sommes en 1968-69, les Byrds recomposés tapent dans le mille, laidback en mode hippie, pas précurseurs, non, mais initiateurs, un template.
Ecoute, vois ce que ce ça va engendrer.
EXCELLENT !
L'album le moins bien classé aux US
(15eme En GB qd ^m !)
Il a son charme. Il fait la transition entre les 2 periodes du groupe. on retrouve le son du debut du groupe.
Un de mes premiers BYRDS.
Apres la country, retour partiel, a du BYRDS plus classique : reprise de dylan, toutes les chansons sont interprétées par la voix familière de McGuinn.
WHEELS ON FIRE ouvre parfaitement le bal.
https://youtu.be/RxdMqiKI08g
Superbe solo de Clarence White
Critique qui va devenir recurrente :
en tant que songwriter le leader est peu productif, Il est ici épaulé de plusieurs co-writers.
L'absence de clark hillman ou crosby se fait sentir...
sur le medley les BYRDS essayent de passer en force. Ce n est pas leur style !
A redecouvrir et réévaluer
SATISFACTION a la fin de She dont care... version Bonus. Si si...PS : moi, c'est sur le bonus "The day walk" que j'entends le riff de Satisfaction.on entend le riff de SATISFACTION a la toute fin de She Don’t Care About Time
...
C'est bon, I GOT IT ! En effet, vers 2'18". Je n'écoutais pas avec un volume suffisant. Et je me concentrais sur la guitare, tandis que le riff de Satisfaction semble être joué au piano, en arrière-plan.
Hillman qui semble introduire le style country dans le groupe avec 2 autres de ses compos : "Time between" et "The girl with no name".circle63 a écrit : ↑mer. 1 juin 2022 17:45Thoughts and WordsOctopus a écrit : ↑mer. 1 juin 2022 12:43 YOUNGER THAN YESTERDAY : les Byrds se réinventent. Encore un excellent album.
Une multitude d'ambiances différentes : folk-rock, pop, country, etc. Ceci est probablement dû au fait que Crosby et Hillman sont devenus des auteurs-compositeurs à part entière et apportent leurs touches personnelles.
https://www.youtube.com/watch?v=I7Uh8933Jvs
compo de c HILLMAN
la chanson le plus BEATLES des BYRDS
THE NOTORIOUS BYRD BROTHERS (1968)
Comme indiqué précédemment, "considéré comme l'un des meilleurs albums des Byrds". Chris Hillman déclarera d'ailleurs en 2003 : "Je ne sais pas combien de personnes m'ont dit au fil des ans que c'était leur album préféré des Byrds".
A l'écoute de la 1ère face, je peux comprendre. Une intro tonitruante avec "Artificial energy". Puis avec la reprise splendide de "Goin' back" de Goffin & King, les Byrds montrent une fois de plus qu'ils savent s'approprier avec réussite les chansons des autres. Les bons morceaux s'enchaînent bien.
Mais je trouve la 2ème face décevante. Un goût de BYRD demi-sel, sans réelle conviction.
Le tout donne un album éclectique : folk-rock, psychédélisme, country, musique électronique. On y trouve des cuivres, des cordes et même du Moog synthétiseur. C'est toujours impeccable vocalement. Il y a de très bons moments. Mais l'ensemble sonne-t-il comme l’œuvre de géniaux touche-à-tout (comme l'est Sgt Pepper) ou comme un fourre-tout décousu engendré par un groupe tiraillé par les tensions internes et cherchant sa voie ?
L'enregistrement de ce LP est en effet marqué par le départ du batteur Michael Clarke et l'éviction de David Crosby, qui ne sont présents que sur la moitié des titres environ.
Les tensions ont forcément affaibli l'ensemble. L'inclusion de "Triad" de Crosby aurait été profitable par exemple.
A propos de tensions, je reviens à l'épisode de la pochette et de la présence du cheval à la 4ème fenêtre. Crosby accusant ses anciens partenaires d'irrespect, McGuinn a répondu que si telle avait été son intention, le cheval aurait été tourné dans l'autre sens. Bonjour l'ambiance !
Comme indiqué précédemment, "considéré comme l'un des meilleurs albums des Byrds". Chris Hillman déclarera d'ailleurs en 2003 : "Je ne sais pas combien de personnes m'ont dit au fil des ans que c'était leur album préféré des Byrds".
A l'écoute de la 1ère face, je peux comprendre. Une intro tonitruante avec "Artificial energy". Puis avec la reprise splendide de "Goin' back" de Goffin & King, les Byrds montrent une fois de plus qu'ils savent s'approprier avec réussite les chansons des autres. Les bons morceaux s'enchaînent bien.
Mais je trouve la 2ème face décevante. Un goût de BYRD demi-sel, sans réelle conviction.
Le tout donne un album éclectique : folk-rock, psychédélisme, country, musique électronique. On y trouve des cuivres, des cordes et même du Moog synthétiseur. C'est toujours impeccable vocalement. Il y a de très bons moments. Mais l'ensemble sonne-t-il comme l’œuvre de géniaux touche-à-tout (comme l'est Sgt Pepper) ou comme un fourre-tout décousu engendré par un groupe tiraillé par les tensions internes et cherchant sa voie ?
L'enregistrement de ce LP est en effet marqué par le départ du batteur Michael Clarke et l'éviction de David Crosby, qui ne sont présents que sur la moitié des titres environ.
Les tensions ont forcément affaibli l'ensemble. L'inclusion de "Triad" de Crosby aurait été profitable par exemple.
A propos de tensions, je reviens à l'épisode de la pochette et de la présence du cheval à la 4ème fenêtre. Crosby accusant ses anciens partenaires d'irrespect, McGuinn a répondu que si telle avait été son intention, le cheval aurait été tourné dans l'autre sens. Bonjour l'ambiance !