Les Beatles ont toujours éveillé l’admiration des célébrités, people et gens du spectacle. Nous vous proponsons de découvrir dans cet article, une sélection de citations de ces dernioères sur “Les Quatre Garçons dans le vent”
Pourquoi ?
Je ne sais pas… (silence)
Pour la jeunesse ?
Je ne sais pas… Pour la jeunesse, rien n’arrive… (silence)
C’était une époque assez gaie quand même…
Pourquoi « c’était » ? Ils n’existent plus maintenant ?
Non, ils se sont séparés en 1969 !
Je ne le savais même pas… (silence)
Quelle musique aimez vous ?
La musique éternelle…
L’infirmière en blouse blanche ressemble à Lucy, et les petites pilules roses brillent dans le ciel comme des diamants. Le cadavre des Beatles s’est décomposé, tandis que sont apparus les Sex Pistols. King’s Road a remplacé Carnaby Street, et Malcom McLaren a pris la place de Mary Quant. En 1982, on nous ressort le Mersey sound, mais il n’y a plus que les Flamin’ Groovies pour s’intéresser aux mélodies alambiquées de ces quatre garçons qui furent dans le vent…
En 1982, il n’y a plus ni Lennon, ni Elvis. Et moi j’écoute le dernier Clash. Alors tel un robot mal graissé, je sens des craquements dans les turbines de ce sous-marin jaune qui sombre lentement dans l’huile de vidange…
Je ne vois pas, d’ailleurs, sur quel groupe d’aujourd’hui on pourrait faire ce genre de grande enquête.
On sentait qu’il n’y avait pas de sexe entre eux, comme dans les vraies histoires d’amour. Ils étaient simples. C’était ça, leur secret. Après le concert, tout le monde a été danser chez Castel. Brian Epstein, leur manager, est venu me demander si je voulais me joindre a leur table. J’ai refusé : ils n’avaient qu’à venir me le demander eux-mêmes ! Pourtant, j’aurais beaucoup aimer Lennon : il était si serviable avec les femmes. Yoko Ono l’a rendu ridicule, elle en a fait son esclave. Je la déteste !
Les Beatles nous ont apporté le bonheur, les petits joints et les autres drogues aussi (« Happiness Is A Warm Gun… »), Et bien que les hippies soient l’horreur de ma vie, ils ont tout sauvé a mon égard. Aujourd’hui, même en Suisse, les vieux schnocks chics portent les cheveux longs. Enfin, le style Beatles a pris en Suisse (rire) !
Je demeure très calme, mais ferme sur ma position. Je serai Beatles plus tard, beaucoup plus tard, comme on promet à son éditeur d’écrire un jour un vrai roman. J’ai tout mon temps. Je révèle à la petite assistance que j’ai une dette incroyable envers les quatre garçons de Liverpool. Je leur dois mes premiers baisers et mes premiers enfants. Chacun de mes livres a été écrit au rythme de leurs chansons, au son de leur musique. Ils me paraissent bien plus indispensables à ma vie que mon avocat, mon docteur ou le président de la République. Je suis très applaudi. Puis des doigts se lèvent. Certains demandent s’ils peuvent modifier leur réponse. Bientôt, la majorité de la classe… C’est gagné : nous serons tous Beatles.